Avec le plan d’actions du Cusems et Saemss, qui déroulent présentement leur 8ème plan d’actions, c’est une grande partie des enseignants de l’élémentaire, qui est venue soutenir leurs collègues du moyen et du secondaire dans le bras de fer qui les oppose à l’Etat.
C’était débrayage pour certains et grève totale pour d’autres, mardi. «Il y a des années où je n’allais pas en grève. Mais, à ce stade, seule la lutte de tout un chacun nous aidera à avoir gain de cause. Au niveau des enseignants, il faut que la solidarité de corps transparaisse comme cela a été le cas avec les transporteurs récemment. Demain (aujourd’hui) encore, c’est débrayage et grève totale, pour le reste de la semaine», soutient le président du Codec (Collectif des directeurs d’école) de Ndiebel, Cherif Barry, ajoutant «que les réclamations des enseignants attendent depuis trop longtemps sur la table».
Mamadou Ka, instituteur, appelle à l’unité et la solidarité de corps. «Les réticents à la grève, ils doivent savoir que c’est un combat pour l’intérêt de tous. Il en va de notre carrière jusqu’à notre dignité. Il est grand temps que cette discrimination envers les enseignants cesse», note M. Ka.
Et si l’on en croit M. Barry, l’école sénégalaise n’est pas proche de sa sortie de crise. «Cette année, je pense que tout le monde ira jusqu’au bout. Rien que dans le Codec où je suis, on peut dire que 90% des enseignants ont respecté le mot d’ordre. Ce qui en dit long sur la détermination et l’engagement des collègues.» Rapporte Vipeoples .
C’était débrayage pour certains et grève totale pour d’autres, mardi. «Il y a des années où je n’allais pas en grève. Mais, à ce stade, seule la lutte de tout un chacun nous aidera à avoir gain de cause. Au niveau des enseignants, il faut que la solidarité de corps transparaisse comme cela a été le cas avec les transporteurs récemment. Demain (aujourd’hui) encore, c’est débrayage et grève totale, pour le reste de la semaine», soutient le président du Codec (Collectif des directeurs d’école) de Ndiebel, Cherif Barry, ajoutant «que les réclamations des enseignants attendent depuis trop longtemps sur la table».
Mamadou Ka, instituteur, appelle à l’unité et la solidarité de corps. «Les réticents à la grève, ils doivent savoir que c’est un combat pour l’intérêt de tous. Il en va de notre carrière jusqu’à notre dignité. Il est grand temps que cette discrimination envers les enseignants cesse», note M. Ka.
Et si l’on en croit M. Barry, l’école sénégalaise n’est pas proche de sa sortie de crise. «Cette année, je pense que tout le monde ira jusqu’au bout. Rien que dans le Codec où je suis, on peut dire que 90% des enseignants ont respecté le mot d’ordre. Ce qui en dit long sur la détermination et l’engagement des collègues.» Rapporte Vipeoples .