En quatre mois, Marie Dasylva a volé à sa patronne Fatou Ibrahima Ndiaye 2,5 millions francs et divers biens (bijoux, maquillage et d’autres effets vestimentaires). Visée pour vol commis à l’occasion du service, la femme de ménage comparaissait ce lundi 22 août 2022, devant le tribunal d’Instance de Dakar. Main sur le cœur, la prévenue a reconnu avoir chipé 700.000 francs, informe Rewmi.
Mais, elle s’est empressée de préciser qu’elle l’a fait pour s’amuser. « C’était un jeu », a-t-elle asséné, sans convaincre. À l’en croire, la victime a déposé les 700.000 francs au salon. « Je l’ai pris et je suis rentrée avec. Dès que la partie civile m’a appelée au téléphone, je lui ai envoyé son argent via wave. On était des complices. Elle m’a recrutée, il y a quatre mois. Je travaillais les lundis, mercredis et vendredis. Mais, on s’est familiarisé en un temps record », a-t-il expliqué. Absente à la barre, Fatou Ibrahima Ndiaye a révélé aux limiers qu’elle a commencé à être victime de vol depuis l’arrivée de la comparante qui a subtilisé 2,5 millions francs lors de son dernier forfait.
Pour faire avouer la mise en cause, un proche de la plaignante lui a dit lors d’un entretien téléphonique qu’elle a été filmée par les caméras installées sur les lieux de l’infraction. Sur ces entrefaites Marie Dasylva a plaidé coupable, avant de restituer une partie de l’argent. C’est alors que Fatou Ibrahima Ndiaye a piégé la voleuse en lui demandant de venir l’accompagner à la police pour qu’elle retire sa plainte. Sans tarder, Marie Dasylva s’est présentée devant les flics avec son employeur.
Elle a atterri directement à l’hôtel zéro étoile. Reprenant la parole, la jeune maman a souligné que la plaignante a imputé les précédents larcins à son livreur. Sur ce, elle lui a recommandé d’installer des caméras dans les couloirs. « Je savais bel et bien que le salon n’était pas équipé de caméra. C’est le livreur qui a donné à la partie civile les 700.000 francs que j’avais pris à son insu le lundi. J’avais un rendez-vous médical. Raison pour laquelle j’étais absente le mercredi », a-t-elle dit, avec hargne. L’avocate de la société a réclamé deux ans, dont deux mois ferme. Me Alboury Ndiaye a demandé au juge d’accorder le sursis à la prévenue. Laquelle a été finalement condamnée à deux ans, dont deux mois ferme.
Mais, elle s’est empressée de préciser qu’elle l’a fait pour s’amuser. « C’était un jeu », a-t-elle asséné, sans convaincre. À l’en croire, la victime a déposé les 700.000 francs au salon. « Je l’ai pris et je suis rentrée avec. Dès que la partie civile m’a appelée au téléphone, je lui ai envoyé son argent via wave. On était des complices. Elle m’a recrutée, il y a quatre mois. Je travaillais les lundis, mercredis et vendredis. Mais, on s’est familiarisé en un temps record », a-t-il expliqué. Absente à la barre, Fatou Ibrahima Ndiaye a révélé aux limiers qu’elle a commencé à être victime de vol depuis l’arrivée de la comparante qui a subtilisé 2,5 millions francs lors de son dernier forfait.
Pour faire avouer la mise en cause, un proche de la plaignante lui a dit lors d’un entretien téléphonique qu’elle a été filmée par les caméras installées sur les lieux de l’infraction. Sur ces entrefaites Marie Dasylva a plaidé coupable, avant de restituer une partie de l’argent. C’est alors que Fatou Ibrahima Ndiaye a piégé la voleuse en lui demandant de venir l’accompagner à la police pour qu’elle retire sa plainte. Sans tarder, Marie Dasylva s’est présentée devant les flics avec son employeur.
Elle a atterri directement à l’hôtel zéro étoile. Reprenant la parole, la jeune maman a souligné que la plaignante a imputé les précédents larcins à son livreur. Sur ce, elle lui a recommandé d’installer des caméras dans les couloirs. « Je savais bel et bien que le salon n’était pas équipé de caméra. C’est le livreur qui a donné à la partie civile les 700.000 francs que j’avais pris à son insu le lundi. J’avais un rendez-vous médical. Raison pour laquelle j’étais absente le mercredi », a-t-elle dit, avec hargne. L’avocate de la société a réclamé deux ans, dont deux mois ferme. Me Alboury Ndiaye a demandé au juge d’accorder le sursis à la prévenue. Laquelle a été finalement condamnée à deux ans, dont deux mois ferme.