Par les motifs statuant publiquement contradictoirement à l’égard de d’Éric Philibert et par défaut réputé contradictoire à l’égard de Mahmoudou Wane et du civilement responsable, en matière correctionnelle et en premier ressort, le Tribunal Hors Classe de Dakar avait déclaré, au fond, que Mahmoudou Wane est « coupable des faits qui lui sont reprochés et le « condamne à 06 mois d’emprisonnement assorti du sursis » en application des articles 258, 270, du Code Pénal sénégalais.
Le même tribunal a aussi condamné Mahmoudou Wane à payer la somme de 5.000.000 FCFA à titre de dommages et intérêts pour toutes causes de préjudices confondus » à Éric Philibert.
La Tribunal avait aussi déclaré le Journal « Enquête » civilement responsable des condamnations prononcées ; à savoir l’ordonnance de la « publication du jugement dans les journaux suivants : « Enquête », « Le Quotidien », « l’Observateur », et le «Le Soleil ».
Le tribunal avait aussi ordonné l’exécution des sanctions provisoires prononcées, tout en condamnant Mahmoudou Wane à ses dépens.
Pour rappel des faits, Mahmoudou Wane; directeur de publication du journal « Enquête » avait fait publier dans sa livraison numéro 393 des 29 et 30 septembre 2012, en page de couverture, un titre intitulé : « Le DG de Lamantin Beach traqué 24 boulettes de cocaïne retrouvées chez lui. Il se serait réfugié à l’ambassade de France » et en page intérieure (page 5) un article intitulé « Trafic de drogue Eric Philibert, Directeur de Lamantin Beach recherché ».
Ce même article a été diffusé le 29 septembre 2012 sur le site internet du quotidien www.enquêteplus.sn « Coup de tonnerre dans le ciel de l’hôtellerie le célèbre et puissant directeur général du tout puissant hôtel Lamantin Beach a été visité par les agents des douanes qui ont débarqué ce vendredi, chez lui, en toute surprise. Ils ont trouvé de la drogue dure, précisément 24 boulettes de cocaïne dans sa résidence à Saly »
Grâce à ce verdict en première instance, Éric Philibert, ce diplômé de l’Ecole Supérieure de l’Hôtellerie et de restauration de Lausanne refait son image de marque et triomphe de ses détracteurs tapis dans l’ombre.
Mais, ce qui est le plus cocasse dans toute cette affaire, c’est que des sites internet pourraient recevoir des sommations interpellatives lundi, via huissier, pour avoir repris ces informations calomnieuses.
Massène DIOP
Le même tribunal a aussi condamné Mahmoudou Wane à payer la somme de 5.000.000 FCFA à titre de dommages et intérêts pour toutes causes de préjudices confondus » à Éric Philibert.
La Tribunal avait aussi déclaré le Journal « Enquête » civilement responsable des condamnations prononcées ; à savoir l’ordonnance de la « publication du jugement dans les journaux suivants : « Enquête », « Le Quotidien », « l’Observateur », et le «Le Soleil ».
Le tribunal avait aussi ordonné l’exécution des sanctions provisoires prononcées, tout en condamnant Mahmoudou Wane à ses dépens.
Pour rappel des faits, Mahmoudou Wane; directeur de publication du journal « Enquête » avait fait publier dans sa livraison numéro 393 des 29 et 30 septembre 2012, en page de couverture, un titre intitulé : « Le DG de Lamantin Beach traqué 24 boulettes de cocaïne retrouvées chez lui. Il se serait réfugié à l’ambassade de France » et en page intérieure (page 5) un article intitulé « Trafic de drogue Eric Philibert, Directeur de Lamantin Beach recherché ».
Ce même article a été diffusé le 29 septembre 2012 sur le site internet du quotidien www.enquêteplus.sn « Coup de tonnerre dans le ciel de l’hôtellerie le célèbre et puissant directeur général du tout puissant hôtel Lamantin Beach a été visité par les agents des douanes qui ont débarqué ce vendredi, chez lui, en toute surprise. Ils ont trouvé de la drogue dure, précisément 24 boulettes de cocaïne dans sa résidence à Saly »
Grâce à ce verdict en première instance, Éric Philibert, ce diplômé de l’Ecole Supérieure de l’Hôtellerie et de restauration de Lausanne refait son image de marque et triomphe de ses détracteurs tapis dans l’ombre.
Mais, ce qui est le plus cocasse dans toute cette affaire, c’est que des sites internet pourraient recevoir des sommations interpellatives lundi, via huissier, pour avoir repris ces informations calomnieuses.
Massène DIOP
La rédaction