Né en 1994, I. Ndiaye a échappé de justesse à un lynchage, dans la nuit du 31 juillet au 1er aout. Pour cause, il a été surpris en pleins ébats avec son amant, sur les bancs du jardin public du Jet d’eau, à la Sicap. Il était environ 3h du matin. Si le jeune homme a eu la malchance d’être appréhendé et conduit sous bonne escorte à la police de Dieuppeul, tel n’a pas été le cas pour son partenaire qui a profité de la mêlée pour prendre ses jambes à son cou et se fondre dans la nature.
Et dire que le mis en cause est un étudiant inscrit à la faculté de droit à l’UCAD. La preuve, le premier jour de son arrestation, le jeune homme qui était habillé d’un pantalon moulant, n’a pas cessé de crier à partir de cellule de garde-à -vue : « ayy waay, dimbali lenn ma ! J’ai trois examens à faire demain. Laissez-moi appeler ma famille ! ». Le tout dans une manière très efféminée.
D’ailleurs, son homosexualité, il ne s‘en cache pas. Aux enquêteurs, il a reconnu son homosexualité. Mais seulement, il a nié avoir été surpris avec un autre homme. Toutefois, cette nuit, c’est un groupe de jeune qui l’a surpris en pleins ébats.
Du reste, raconte l’un des jeunes qui l’ont conduit à la police, dans le véhicule, il était toujours en érection et il avait des taches de sperme sur sa culotte. Mais ce qu’il est paradoxal dans sa version, c’est qu’il a nié avoir été surpris avec son amant, même s’il a avoué qu’il était en érection.
Devant les enquêteurs, il a, en effet, soutenu que cette nuit-là , il revenait de l’université vers les coups de 1h du matin, pour rentrer chez lui, aux Maristes. Et selon lui, c’est en chemin que l’idée d’aller rendre visite à son ami lui a traversé l’esprit, et c’est ainsi, dit-il, qu’il a fait un crochet à Liberté 2. En tout cas, il risque non seulement de rater ses examens, mais son année scolaire, puisqu’il a été déféré au parquet pour actes contre nature et attentat public à la pudeur.
Voxpopuli
Et dire que le mis en cause est un étudiant inscrit à la faculté de droit à l’UCAD. La preuve, le premier jour de son arrestation, le jeune homme qui était habillé d’un pantalon moulant, n’a pas cessé de crier à partir de cellule de garde-à -vue : « ayy waay, dimbali lenn ma ! J’ai trois examens à faire demain. Laissez-moi appeler ma famille ! ». Le tout dans une manière très efféminée.
D’ailleurs, son homosexualité, il ne s‘en cache pas. Aux enquêteurs, il a reconnu son homosexualité. Mais seulement, il a nié avoir été surpris avec un autre homme. Toutefois, cette nuit, c’est un groupe de jeune qui l’a surpris en pleins ébats.
Du reste, raconte l’un des jeunes qui l’ont conduit à la police, dans le véhicule, il était toujours en érection et il avait des taches de sperme sur sa culotte. Mais ce qu’il est paradoxal dans sa version, c’est qu’il a nié avoir été surpris avec son amant, même s’il a avoué qu’il était en érection.
Devant les enquêteurs, il a, en effet, soutenu que cette nuit-là , il revenait de l’université vers les coups de 1h du matin, pour rentrer chez lui, aux Maristes. Et selon lui, c’est en chemin que l’idée d’aller rendre visite à son ami lui a traversé l’esprit, et c’est ainsi, dit-il, qu’il a fait un crochet à Liberté 2. En tout cas, il risque non seulement de rater ses examens, mais son année scolaire, puisqu’il a été déféré au parquet pour actes contre nature et attentat public à la pudeur.
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