Intervenu pour calmer la situation, le vigile qui a, par la suite, appris qu’il s’agissait d’une affaire de vol, n’a pas hésité à user de la violence pour régler la situation. C’est dans ces circonstances, signalant les deux jeunes accusés de vol, qu’il les a violentés, avant de les électrocuter avec une lampe torche Taiser, pour les emmener à avouer le vol.
Mais, finalement, les choses se sont retournés contre lui. Devant les enquêteurs du commissariat du point E, le sieur Danfa a expliqué que le jour des faits, il était en faction au poste de garde du campus universitaire, lorsqu’il a aperçu des jeunes qui se bagarraient près de la salle Soweto. Ce qui, selon lui, était formellement interdit. C’est ainsi qu’il est allé vers la foule pour restaurer l’ordre.
Mais, tout de suite après, il a su que la bagarre était la résultante d’un vol de portable appartenant au sieur Diallo. Et ce dernier, qui avait accusé M. R. Sarr, était revenu quelques minutes après pour pointer du doigt F. Badine, comme étant celui à qui le butin avait été remis. Soumis à la fouille, les deux mis en cause n’avaient rien par devers eux.
Malgré tout, le vigile qui ne les a pas tout de suite conduits au commissariat du point E, a coûte que coûte tenté de les faire avouer le vol. Et pour ce faire, il n’y est pas allé de main morte. Il a, en effet, commencé à verser de l’eau aux présumés voleurs, avant de leur administrer plusieurs gifles. Et comme si cela ne suffisait, il leur a administré des décharges électriques avec une lampe taiser.
Voxpopuli
Mais, finalement, les choses se sont retournés contre lui. Devant les enquêteurs du commissariat du point E, le sieur Danfa a expliqué que le jour des faits, il était en faction au poste de garde du campus universitaire, lorsqu’il a aperçu des jeunes qui se bagarraient près de la salle Soweto. Ce qui, selon lui, était formellement interdit. C’est ainsi qu’il est allé vers la foule pour restaurer l’ordre.
Mais, tout de suite après, il a su que la bagarre était la résultante d’un vol de portable appartenant au sieur Diallo. Et ce dernier, qui avait accusé M. R. Sarr, était revenu quelques minutes après pour pointer du doigt F. Badine, comme étant celui à qui le butin avait été remis. Soumis à la fouille, les deux mis en cause n’avaient rien par devers eux.
Malgré tout, le vigile qui ne les a pas tout de suite conduits au commissariat du point E, a coûte que coûte tenté de les faire avouer le vol. Et pour ce faire, il n’y est pas allé de main morte. Il a, en effet, commencé à verser de l’eau aux présumés voleurs, avant de leur administrer plusieurs gifles. Et comme si cela ne suffisait, il leur a administré des décharges électriques avec une lampe taiser.
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