A la place d'un point de presse devant les locaux du Centre d'Études des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI), une marche pacifique et autorisée allant de la « Couloir de la mort » de l'UCAD au rond-point du bureau de Poste de la Médina,, était prévue, ce jeudi, par les nouveaux bacheliers non orientés. Mais, le préfet de Dakar s'est opposé à cette manifestation. Une décision qui a provoqué la colère de ces nouveaux bacheliers qui accusent l’autorité de vouloir saboter leur lutte.
"Le préfet nous a interdits de tenir notre marche. Ce n'est que pour saboter", s'indigne leur président Souleymane Diouf, épaulé par une vingtaine de jeunes pour déplorer cette attitude du préfet qui, selon eux, veut les empêcher de réclamer ce qui leur revient de droit: une demande d'admission
« Nous sommes plus de mille bacheliers non orientés »
Poursuivant leurs complaintes, les nouveaux bacheliers donnent un ultimatum d'une semaine à leur ministre de tutelle Cheikh Oumar Hanne. Si rien n’est fait, ils se pointeront devant les locaux du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, pour arracher leur demande d'admission.
"Le ministre a déclaré que les bacheliers non orientés sont au nombre de 526 alors que plus de 1000 bacheliers ne sont pas orientés. Et j'ai eu la capacité de les regrouper sur les réseaux sociaux. Donc, d'ici une semaine, si on n'a pas reçu nos demandes d'admissions, on va faire un autre combat. Le ministre là où il se pointe, on sera là-bas avec tous nos camardes afin d'arracher nos demande d'admission. Parce que ce que nous réclamons, c'est notre droit ", prévient-il.
Ces nouveaux bacheliers déplorent également le traitement inégal fait par les autorités dans les orientations. "Certains de nos camarades sont en train de faire cours et nous sommes là comme des chômeurs. Pourtant, nous avons combattu toutes les journées de nuit et de jour pour décrocher notre Bac. Il y a des bons élèves qui n'ont pas reçu leur demande d'admission et je suis la preuve vivante parce que suis deuxième de ma classe et jusque-là, je ne suis pas orienté. La fois passée, on a fait un point de presse et on 'na pas eu d'information au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur", s'indigne le président du collectif.
"Le préfet nous a interdits de tenir notre marche. Ce n'est que pour saboter", s'indigne leur président Souleymane Diouf, épaulé par une vingtaine de jeunes pour déplorer cette attitude du préfet qui, selon eux, veut les empêcher de réclamer ce qui leur revient de droit: une demande d'admission
« Nous sommes plus de mille bacheliers non orientés »
Poursuivant leurs complaintes, les nouveaux bacheliers donnent un ultimatum d'une semaine à leur ministre de tutelle Cheikh Oumar Hanne. Si rien n’est fait, ils se pointeront devant les locaux du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, pour arracher leur demande d'admission.
"Le ministre a déclaré que les bacheliers non orientés sont au nombre de 526 alors que plus de 1000 bacheliers ne sont pas orientés. Et j'ai eu la capacité de les regrouper sur les réseaux sociaux. Donc, d'ici une semaine, si on n'a pas reçu nos demandes d'admissions, on va faire un autre combat. Le ministre là où il se pointe, on sera là-bas avec tous nos camardes afin d'arracher nos demande d'admission. Parce que ce que nous réclamons, c'est notre droit ", prévient-il.
Ces nouveaux bacheliers déplorent également le traitement inégal fait par les autorités dans les orientations. "Certains de nos camarades sont en train de faire cours et nous sommes là comme des chômeurs. Pourtant, nous avons combattu toutes les journées de nuit et de jour pour décrocher notre Bac. Il y a des bons élèves qui n'ont pas reçu leur demande d'admission et je suis la preuve vivante parce que suis deuxième de ma classe et jusque-là, je ne suis pas orienté. La fois passée, on a fait un point de presse et on 'na pas eu d'information au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur", s'indigne le président du collectif.