Un dernier adieu qui tourne au cauchemar. Ce lundi 4 mars, un homme s’est rendu à la morgue de l’hôpital de Corbeil-Essonnes (Essonne), pour se recueillir avant la mise en bière de son père, décédé le 2 mars, à 67 ans. Mais l’agent funéraire lui a présenté un corps qui n’était pas celui de son père, rapporte "Le Parisien", repris par "La Dépêche". Après vérification, l’établissement a admis avoir échangé les dépouilles de deux patients.
Malheureusement, l’erreur a été découverte trop tard : la dépouille du défunt avait déjà été envoyée au Sénégal, pour y être inhumée. L’hôpital a reconnu sa responsabilité et assure avoir pris "les mesures nécessaires pour signaler cette erreur". Il affirme également mettre "tout en œuvre avec les autorités compétentes, pour organiser un rapatriement rapide".
La famille révoltée par cette confusion
Les proches du défunt peinent à comprendre comment un tel incident a pu se produire. "C’est honteux ! L’hôpital s’est excusé mais ils nous prennent de haut. Je doute de tout ce qu’ils disent. Je veux la preuve que mon père n’a pas été brûlé, qu’ils ne lui ont pas enlevé d’organes", dénonce la fille du défunt, profondément choquée.
L’histoire prend une tournure encore plus surprenante concernant l’autre défunt concerné par l’échange. L’agent funéraire de l’hôpital aurait expliqué que vendredi dernier, un membre de l’autre famille aurait identifié à tort, un corps qui n’était pas celui de leur proche, validant ainsi son rapatriement au Sénégal.
Malheureusement, l’erreur a été découverte trop tard : la dépouille du défunt avait déjà été envoyée au Sénégal, pour y être inhumée. L’hôpital a reconnu sa responsabilité et assure avoir pris "les mesures nécessaires pour signaler cette erreur". Il affirme également mettre "tout en œuvre avec les autorités compétentes, pour organiser un rapatriement rapide".
La famille révoltée par cette confusion
Les proches du défunt peinent à comprendre comment un tel incident a pu se produire. "C’est honteux ! L’hôpital s’est excusé mais ils nous prennent de haut. Je doute de tout ce qu’ils disent. Je veux la preuve que mon père n’a pas été brûlé, qu’ils ne lui ont pas enlevé d’organes", dénonce la fille du défunt, profondément choquée.
L’histoire prend une tournure encore plus surprenante concernant l’autre défunt concerné par l’échange. L’agent funéraire de l’hôpital aurait expliqué que vendredi dernier, un membre de l’autre famille aurait identifié à tort, un corps qui n’était pas celui de leur proche, validant ainsi son rapatriement au Sénégal.