Le Président Macky Sall a regretté lors de son discours à la Nation, les incidents survenus à l’occasion de l’élection du Bureau de l’Assemblée nationale.
"Le spectacle désolant auquel certains se sont livrés dans l’enceinte de la Représentation nationale, en détruisant du matériel, en violant la sacralité des lieux et foulant ainsi aux pieds les dispositions du règlement intérieur de l'assemblée nationale est d’une extrême gravité ; indigne d’une démocratie majeure et indigne de la confiance du peuple', a déclaré le chef de l'Etat.
A l'en croire, ce n’est certainement pas ce que les citoyens, qui ont voté dans le calme et la transparence, attendent de leurs représentants.
"Il faut prendre garde. Dans un monde exténué par les déchirures de la guerre, de la violence et de l’extrémisme, nous devons mesurer la chance que nous avons de vivre dans la paix, la sécurité et la stabilité. Nul n’a le droit de détruire ce legs ancestral, notre bien commun. Il nous appartient plutôt de l’entretenir et de le transmettre aux générations futures ; parce que les hommes passent, mais la nation sénégalaise demeure", conseille-t-il.
"Le spectacle désolant auquel certains se sont livrés dans l’enceinte de la Représentation nationale, en détruisant du matériel, en violant la sacralité des lieux et foulant ainsi aux pieds les dispositions du règlement intérieur de l'assemblée nationale est d’une extrême gravité ; indigne d’une démocratie majeure et indigne de la confiance du peuple', a déclaré le chef de l'Etat.
A l'en croire, ce n’est certainement pas ce que les citoyens, qui ont voté dans le calme et la transparence, attendent de leurs représentants.
"Il faut prendre garde. Dans un monde exténué par les déchirures de la guerre, de la violence et de l’extrémisme, nous devons mesurer la chance que nous avons de vivre dans la paix, la sécurité et la stabilité. Nul n’a le droit de détruire ce legs ancestral, notre bien commun. Il nous appartient plutôt de l’entretenir et de le transmettre aux générations futures ; parce que les hommes passent, mais la nation sénégalaise demeure", conseille-t-il.