L’insécurité galopante qui règne ces dernières années à Madina Ndiathbé, chef-lieu de la commune de Madina Ndiathbé, inquiète les populations de la localité.
Depuis le désenclavement de l’île à Morphil, notamment l’axe Madina Ndiathbé-Cas-cas, les habitants de ce village carrefour sont souvent les cibles des agresseurs. Ils sont victimes de vols répétitifs de bétail et de violentes agressions. Le dernier cas d’agression remonte à la nuit du mercredi 13 avril au jeudi 14 avril 2022, pendant laquelle une bande d’agresseurs a attaqué, vers 2h du matin, des ressortissants mauritaniens, vendeurs de bétail.
Cette attaque, la deuxième du genre, a engendré une mort d’homme, un ressortissant mauritanien tué par balle et 3 blessés graves. Munis d’armes à feu et de coupe-coupe, les assaillants ont disparu dans la nature, emportant une importante somme d’argent après avoir commis leur ignoble forfait. Dans un communiqué de presse, les cadres de la localité renseignent que ces assaillants, au nombre de 7, ont pris la fuite après leur forfait. «Les blessés dont l’un a reçu des coups de machette au niveau des jambes, ont été évacués à l’hôpital de Pété», ajoutent-ils. Pour le moment, les malfaiteurs sont encore introuvables.
Toutefois, la brigade de gendarmerie de Pété qui a été saisie de l’affaire, a ouvert une enquête. «Toutes les populations de Madina Ndiathbé déplorent profondément cette sauvage agression et cette mort d’homme, et présentent leurs sincères condoléances à la famille du disparu», indiquent les signataires du communiqué.
Estimant par ailleurs que Madina Ndiathbé est un grand carrefour, lieu de rencontre des commerçants, dû à son marché hebdomadaire (Louma), le plus florissant de la contrée, les populations de Madina Ndiathbé et environs, interpellent les autorités étatiques et exigent plus de sécurité. «Cette riche activité suscite des convoitises, installe une insécurité totale dans le village, qui nécessite une mise en place d’une brigade de la gendarmerie pour assurer la sécurité des biens et des personnes. D’autant que depuis la mise en place des infrastructures pour le désenclavement de l’île à Morphil, aucune mesure d’accompagnement n’a été mise en place. Il n’y a ni brigade de gendarmerie ni poste de police», se désolent les auteurs du communiqué.
Depuis le désenclavement de l’île à Morphil, notamment l’axe Madina Ndiathbé-Cas-cas, les habitants de ce village carrefour sont souvent les cibles des agresseurs. Ils sont victimes de vols répétitifs de bétail et de violentes agressions. Le dernier cas d’agression remonte à la nuit du mercredi 13 avril au jeudi 14 avril 2022, pendant laquelle une bande d’agresseurs a attaqué, vers 2h du matin, des ressortissants mauritaniens, vendeurs de bétail.
Cette attaque, la deuxième du genre, a engendré une mort d’homme, un ressortissant mauritanien tué par balle et 3 blessés graves. Munis d’armes à feu et de coupe-coupe, les assaillants ont disparu dans la nature, emportant une importante somme d’argent après avoir commis leur ignoble forfait. Dans un communiqué de presse, les cadres de la localité renseignent que ces assaillants, au nombre de 7, ont pris la fuite après leur forfait. «Les blessés dont l’un a reçu des coups de machette au niveau des jambes, ont été évacués à l’hôpital de Pété», ajoutent-ils. Pour le moment, les malfaiteurs sont encore introuvables.
Toutefois, la brigade de gendarmerie de Pété qui a été saisie de l’affaire, a ouvert une enquête. «Toutes les populations de Madina Ndiathbé déplorent profondément cette sauvage agression et cette mort d’homme, et présentent leurs sincères condoléances à la famille du disparu», indiquent les signataires du communiqué.
Estimant par ailleurs que Madina Ndiathbé est un grand carrefour, lieu de rencontre des commerçants, dû à son marché hebdomadaire (Louma), le plus florissant de la contrée, les populations de Madina Ndiathbé et environs, interpellent les autorités étatiques et exigent plus de sécurité. «Cette riche activité suscite des convoitises, installe une insécurité totale dans le village, qui nécessite une mise en place d’une brigade de la gendarmerie pour assurer la sécurité des biens et des personnes. D’autant que depuis la mise en place des infrastructures pour le désenclavement de l’île à Morphil, aucune mesure d’accompagnement n’a été mise en place. Il n’y a ni brigade de gendarmerie ni poste de police», se désolent les auteurs du communiqué.