La douzième Législature, on en reparle encore. Non pas pour des actes d’enfantillage notés autour de l’hémicycle, mais pour des affaires de fiscalité qui éclaboussent l’institution.
Pourtant, selon des informations d’Azactu.net, les révélations du Secrétaire général du parti Patriotes du Sénégal pour le Travail et l’Ethique (Pastef) sont prises très au sérieux par les autorités de la deuxième institution de la République. «Les choses sont en train de se régler à l’interne», nous rassure-t-on. Les affaires se font donc dans la plus grande discrétion entre les plus hautes autorités.
Toutefois, les différentes sorties des parlementaires, pour se laver à grande eau, sèment un doute dans l’esprit des compatriotes. En tout état de cause, à la décharge des députés, c’est l’institution elle-même qui est en cause. En effet, Mamadou Diop Decroix confirme, en brandissant, son bulletin de salaire qu'il a bien été opérée une ponction de 89 067 francs de ses émoluments. Pour le leader politique, cette question du reversement ne concerne pas le député. Elle implique l’institution.
Assimilant cette affaire à un scandale, il déclare : «Tout citoyen doit payer l’impôt. Il faut une politique honnête et équitable dans ce domaine. On a payé. Il faut reverser. L’année dernière, nous avons perdu 40 milliards de remise d’impôts. Où vont ces remises ?»
Selon des informations, il ne s’agit nullement de détournement de deniers publics. Mais, de détournement d’objectifs. Car, nous rapporte-ton, les impôts des députés ne sont pas versés dans les caisses de l’Etat, mais ils seraient plutôt utilisés pour le payement des salaires des agents «supplémentaires » et le fonctionnement de de l’Assemblée nationale.
Pis encore, M. Sonko, qui s’est confié à nos confrères de «L’As », d’ajouter que le problème ne se limite pas au non-versement d’impôts. Une autre affaire de Tva serait également au menu.
« C’et le précompte Tva. L’Assemblée nationale doit précompter la TVA et la verser aux impôts», a expliqué Ousmane Sonko qui constate « un personnel politique pléthorique» qui travaille à l’Assemblée nationale.
Face à tout cela, ni le président de l’institution, Moustapha Niasse, ni les questeurs, encore moins le trésorier qui serait d’ailleurs parti en retraite depuis 2012, n’ont décidé de rompre le silence pour éclairer la lanterne des Sénégalais.
Pourtant, selon des informations d’Azactu.net, les révélations du Secrétaire général du parti Patriotes du Sénégal pour le Travail et l’Ethique (Pastef) sont prises très au sérieux par les autorités de la deuxième institution de la République. «Les choses sont en train de se régler à l’interne», nous rassure-t-on. Les affaires se font donc dans la plus grande discrétion entre les plus hautes autorités.
Toutefois, les différentes sorties des parlementaires, pour se laver à grande eau, sèment un doute dans l’esprit des compatriotes. En tout état de cause, à la décharge des députés, c’est l’institution elle-même qui est en cause. En effet, Mamadou Diop Decroix confirme, en brandissant, son bulletin de salaire qu'il a bien été opérée une ponction de 89 067 francs de ses émoluments. Pour le leader politique, cette question du reversement ne concerne pas le député. Elle implique l’institution.
Assimilant cette affaire à un scandale, il déclare : «Tout citoyen doit payer l’impôt. Il faut une politique honnête et équitable dans ce domaine. On a payé. Il faut reverser. L’année dernière, nous avons perdu 40 milliards de remise d’impôts. Où vont ces remises ?»
Selon des informations, il ne s’agit nullement de détournement de deniers publics. Mais, de détournement d’objectifs. Car, nous rapporte-ton, les impôts des députés ne sont pas versés dans les caisses de l’Etat, mais ils seraient plutôt utilisés pour le payement des salaires des agents «supplémentaires » et le fonctionnement de de l’Assemblée nationale.
Pis encore, M. Sonko, qui s’est confié à nos confrères de «L’As », d’ajouter que le problème ne se limite pas au non-versement d’impôts. Une autre affaire de Tva serait également au menu.
« C’et le précompte Tva. L’Assemblée nationale doit précompter la TVA et la verser aux impôts», a expliqué Ousmane Sonko qui constate « un personnel politique pléthorique» qui travaille à l’Assemblée nationale.
Face à tout cela, ni le président de l’institution, Moustapha Niasse, ni les questeurs, encore moins le trésorier qui serait d’ailleurs parti en retraite depuis 2012, n’ont décidé de rompre le silence pour éclairer la lanterne des Sénégalais.