"C’est de la folie pure que d’oser à ce point repousser les limites de l'inacceptable et de l’incivilité. Il serait dangereux de laisser croire qu’au Sénégal quiconque peut s’attaquer à l’intégrité physique et/ou morale du Chef de l’Etat et s’en sortir à bon compte. Nous disons non ! Le Président est une institution et quiconque mène une action violente contre lui, s’attaque à toute la nation sénégalaise", martèlent les jeunes apéristes de France. "Après avoir souscrit à la vague d’indignations suscitée par cette triste affaire, notent-ils il sied maintenant de s’interroger sur les mesures à prendre afin de dissuader tout citoyen sénégalais de se livrer dans l’avenir à de telles âneries".
"Nous estimons, à ce titre, qu’un traitement sérieux et ferme de ce dossier offrirait un signal fort et irréfutable de la volonté de l’Autorité judiciaire sénégalaise de protéger jalousement la personne du président de la République, incarnation du summum de la sacralité institutionnelle, de toute violation, fut-elle morale ou physique. Le respect de son pays commence par le respect de ses institutions", disent-ils.
Ainsi, la COJER/France réclame "une diligence intelligente et rigoureuse de la procédure judiciaire afin d’identifier et de sanctionner l’ensemble des personnes impliquées directement ou indirectement dans ces insanités et, de mettre fin par la même occasion, à ce paradigme d'une université sénégalaise sans punition ni sanction".
"Nous estimons, à ce titre, qu’un traitement sérieux et ferme de ce dossier offrirait un signal fort et irréfutable de la volonté de l’Autorité judiciaire sénégalaise de protéger jalousement la personne du président de la République, incarnation du summum de la sacralité institutionnelle, de toute violation, fut-elle morale ou physique. Le respect de son pays commence par le respect de ses institutions", disent-ils.
Ainsi, la COJER/France réclame "une diligence intelligente et rigoureuse de la procédure judiciaire afin d’identifier et de sanctionner l’ensemble des personnes impliquées directement ou indirectement dans ces insanités et, de mettre fin par la même occasion, à ce paradigme d'une université sénégalaise sans punition ni sanction".