Les cinq enfants d’une même famille décédés dans un incendie à l’unité 17 des Parcelles Assainies ont été inhumés samedi, au cimetière musulman de Yoff. Une foule nombreuse composée de parents, proches, voisins et de simples anonymes les a accompagnés dans leur dernière demeure.
Etant, la plus âgée, Astou Dias a été inhumée la première. Il en sera ainsi pour sa sœur, Fama Dias et les trois autres. Lorsqu’on a procédé à l’ensevelissement de Bébé Ndèye, la benjamine, certains hommes n’ont pu s’empêcher de laisser couler quelques larmes.
Les enterrements effectués, le cortège funèbre s’ébranle vers la maison mortuaire aux abords de laquelle des tentes sont dressées. Dès qu’il entre la ruelle qui y mène, le cortège a été accueilli par des cris.
Certains proches des victimes sont tombés en syncope obligeant les sapeurs-pompiers à intervenir pour les évacuer. Dans cette ambiance, l’imam est intervenu pour calmer les esprits. «Rendons grâce à Dieu par la volonté de qui les enfants ont connu le sort qu’il a décrété. Dans l’un des versets du Coran, le Seigneur mentionne que s’ils meurent, les croyants n’ont rien à craindre là où ils vont et n’ont rien à regretter dernière eux », a-t-il rappelé.
(L’Observateur)
Etant, la plus âgée, Astou Dias a été inhumée la première. Il en sera ainsi pour sa sœur, Fama Dias et les trois autres. Lorsqu’on a procédé à l’ensevelissement de Bébé Ndèye, la benjamine, certains hommes n’ont pu s’empêcher de laisser couler quelques larmes.
Les enterrements effectués, le cortège funèbre s’ébranle vers la maison mortuaire aux abords de laquelle des tentes sont dressées. Dès qu’il entre la ruelle qui y mène, le cortège a été accueilli par des cris.
Certains proches des victimes sont tombés en syncope obligeant les sapeurs-pompiers à intervenir pour les évacuer. Dans cette ambiance, l’imam est intervenu pour calmer les esprits. «Rendons grâce à Dieu par la volonté de qui les enfants ont connu le sort qu’il a décrété. Dans l’un des versets du Coran, le Seigneur mentionne que s’ils meurent, les croyants n’ont rien à craindre là où ils vont et n’ont rien à regretter dernière eux », a-t-il rappelé.
(L’Observateur)