«C’est jeudi vers 2h, 3h du matin que mon fils m’a réveillée pour me dire qu’on frappait trop fort à la porte. Je me suis levée et avant même d’ouvrir, j’entends des garçons crier : «ta boutique est en flammes». Nous avons ensemble essayé de maîtriser le feu, mais c’était peine perdue. L’irréparable s’est déjà produit», se désolé la propriétaire de la boutique.
Des éléments du Commissariat de Police de cette cité, informés, se sont déplacés pour constater les dégâts. Et c’est en ce moment que des résidus de brins d’allumette déjà utilisés et des bouteilles vides d’essence ont été trouvés sur place. Ces résidus font croire que l’incendie a été prémédité.
À en croire Oumy Thiam Diaw, ce n’est pas la première fois qu’elle est victime de la cruauté humaine.
«J’ai porté plainte parce que c’est devenu répétitif. Il y a de cela un mois, les quatre roues de la voiture de mon mari ont été trouées pendant la nuit, mais nous n’avions pas jugé nécessaire de porter plainte. Cette fois, c’est allé trop loin», confie Mme Diaw, tout en priant que le coupable soit retrouvé très vite et éventuellement, le(s) commanditaire(s)
Des éléments du Commissariat de Police de cette cité, informés, se sont déplacés pour constater les dégâts. Et c’est en ce moment que des résidus de brins d’allumette déjà utilisés et des bouteilles vides d’essence ont été trouvés sur place. Ces résidus font croire que l’incendie a été prémédité.
À en croire Oumy Thiam Diaw, ce n’est pas la première fois qu’elle est victime de la cruauté humaine.
«J’ai porté plainte parce que c’est devenu répétitif. Il y a de cela un mois, les quatre roues de la voiture de mon mari ont été trouées pendant la nuit, mais nous n’avions pas jugé nécessaire de porter plainte. Cette fois, c’est allé trop loin», confie Mme Diaw, tout en priant que le coupable soit retrouvé très vite et éventuellement, le(s) commanditaire(s)