Un groupe de jeunes composé de filles et de garçons, devant une boutique non loin de la cérémonie inaugurale de la maternité Annette Mbaye d'Erneville de Ouakam, des sacs de caméras et trépieds par terre, tel est le tableau affligeant en cette mi-journée.
Venus de diverses rédactions pour les besoins de couverture de la manifestation. ces jeunes reporters ont eu l’humiliation de leur vie, car ils ont été jetés dehors comme’ des malpropres par les forces de l’ordre qui auraient dit-on, reçu des instructions venant d’une autorité, dont on ignore l'identité.
Mais le plus étonnant dans cette situation mais également le plus surprenant, c'est que la presse internationale n’a pas été pas inquiétée. Cette dernière passait comme lettre à la poste sous le regard bienveillant des forces de l’ordre.
Qu’est-ce qui se passe avec l’autorité pour que la presse nationale soit traitée de la sorte ? Très remontée, Awa Mamy Seck journaliste à Rewmi FM, pointe du doigt les autorités. « Nous sommes là depuis 9 heures du matin car nous tous, nous avons reçu des demandes de couverture. Nous sommes venus couvrir cet événement qui était censé être une simple inauguration d’une maternité. Mais il parait que la tournure a été toute autre. Tout ça, c’est de la campagne déguisée du président de la République », explique notre consœur.
Elle poursuit : « On nous a chassés à deux reprises et là , trop, c’est trop, il faut que cela cesse. Et c’est injuste du fait que les journalistes ‘’toubab’’ (presse internationale) ont montré leurs cartes de presse comme nous l’avons fait et pourtant, les forces de l’ordre les laissent passer sans problème aucun », a-t-elle dénoncé avec véhémence.
Ne s’arrêtant pas là , Awa Mamy Seck pense qu’il y a autre chose derrière cette inauguration qui pouvait être présidée par le ministre de la Santé et non pas par le Pm, par ailleurs tête de liste de Benno Bokk Yakaar. "Nous sommes en train de vivre les conséquences des Législatives avec toutes cette propagande."
Pour apaiser l’ire des journalistes, le maire de localité Samba Bathily Diallo et des proches du camp présidentiel, ont eu beau jouer les bons offices pour trouver une solution, mais le mal avait déjà été fait. Tous les journalistes avaient à l'unanimité, choisi de tourner le dos à cette manifestation.
Cheikh Makhfou Diop leral.net
Venus de diverses rédactions pour les besoins de couverture de la manifestation. ces jeunes reporters ont eu l’humiliation de leur vie, car ils ont été jetés dehors comme’ des malpropres par les forces de l’ordre qui auraient dit-on, reçu des instructions venant d’une autorité, dont on ignore l'identité.
Mais le plus étonnant dans cette situation mais également le plus surprenant, c'est que la presse internationale n’a pas été pas inquiétée. Cette dernière passait comme lettre à la poste sous le regard bienveillant des forces de l’ordre.
Qu’est-ce qui se passe avec l’autorité pour que la presse nationale soit traitée de la sorte ? Très remontée, Awa Mamy Seck journaliste à Rewmi FM, pointe du doigt les autorités. « Nous sommes là depuis 9 heures du matin car nous tous, nous avons reçu des demandes de couverture. Nous sommes venus couvrir cet événement qui était censé être une simple inauguration d’une maternité. Mais il parait que la tournure a été toute autre. Tout ça, c’est de la campagne déguisée du président de la République », explique notre consœur.
Elle poursuit : « On nous a chassés à deux reprises et là , trop, c’est trop, il faut que cela cesse. Et c’est injuste du fait que les journalistes ‘’toubab’’ (presse internationale) ont montré leurs cartes de presse comme nous l’avons fait et pourtant, les forces de l’ordre les laissent passer sans problème aucun », a-t-elle dénoncé avec véhémence.
Ne s’arrêtant pas là , Awa Mamy Seck pense qu’il y a autre chose derrière cette inauguration qui pouvait être présidée par le ministre de la Santé et non pas par le Pm, par ailleurs tête de liste de Benno Bokk Yakaar. "Nous sommes en train de vivre les conséquences des Législatives avec toutes cette propagande."
Pour apaiser l’ire des journalistes, le maire de localité Samba Bathily Diallo et des proches du camp présidentiel, ont eu beau jouer les bons offices pour trouver une solution, mais le mal avait déjà été fait. Tous les journalistes avaient à l'unanimité, choisi de tourner le dos à cette manifestation.
Cheikh Makhfou Diop leral.net