Il s’est exprimé aujourd’hui (jeudi) à Dakar lors du conseil interministériel sur la sécurité.
Selon le PM, le problème des accidents mortels demeure et l’insécurité sur nos routes a atteint un point tel que des mesures vigoureuses s’imposent pour arrêter ces hécatombes notées sur les différents axes du pays.
« Il y a à peine six mois, une décision était de mettre en place un comité interministérielle pour travailler sur cette question », a-t-il rappelé.
Pour Mahammed Boun Abdallah Dionne, le président de la République s’est engagé à travers le programme du plan Sénégal émergent (PSE) dans un processus de modernisation des infrastructures routières à travers la réalisation de nos programmes autoroutier mais aussi la réalisation de nouvelle route de dernière génération en plus de la réhabilitation de plusieurs axes routiers.
« L’autoroute est une option pour régler la question de la sécurité », soutient M. Dionne pour répondre également à ceux qui pensent que la priorité est ailleurs.
Il ajoute: « les différentes actions risquent d’être annihilées si des mesures fortes ne sont pas prises contre les accidents mortels causés par des défaillances mécaniques et surtout par le comportement de certains conducteurs ».
Selon le PM, le problème des accidents mortels demeure et l’insécurité sur nos routes a atteint un point tel que des mesures vigoureuses s’imposent pour arrêter ces hécatombes notées sur les différents axes du pays.
« Il y a à peine six mois, une décision était de mettre en place un comité interministérielle pour travailler sur cette question », a-t-il rappelé.
Pour Mahammed Boun Abdallah Dionne, le président de la République s’est engagé à travers le programme du plan Sénégal émergent (PSE) dans un processus de modernisation des infrastructures routières à travers la réalisation de nos programmes autoroutier mais aussi la réalisation de nouvelle route de dernière génération en plus de la réhabilitation de plusieurs axes routiers.
« L’autoroute est une option pour régler la question de la sécurité », soutient M. Dionne pour répondre également à ceux qui pensent que la priorité est ailleurs.
Il ajoute: « les différentes actions risquent d’être annihilées si des mesures fortes ne sont pas prises contre les accidents mortels causés par des défaillances mécaniques et surtout par le comportement de certains conducteurs ».