Alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur le cas du maître coranique qui a été surpris en flagrant délit sur la terrasse d’une mosquée à Sicap Karack, en train d’entretenir des relations sexuelles avec un garçon de 16 ans, un cas similaire a eu lieu dans la nuit du 4 au 5 février dernier à la Médina. Sauf que dans le cas d’espèce, la victime est un garçon qui souffre d’une déficience mentale.
Dans la plainte déposée au commissariat de la Médina, le cousin de la victime explique que la nuit des faits, il était dans sa chambre en train de dormir, lorsqu’il a entendu un vacarme dans la cour de la maison. Mais puisqu’il était épuisé, il dit avoir continué son sommeil sans se préoccuper de ce qui se passait dans la maison.
Une attitude que lui a d’ailleurs reproché sa mère le lendemain, car en réalité, c’est au même moment qu’un individu qui fréquentait leur maison, a été surpris en train d’abuser de son cousin qui est un malade mental.
M. Saliou Diallo fréquente, en effet, cette famille depuis quelque temps, mais en réalité, à chaque fois qu’il était de passage, il avait un œil sur le malade mental sur qui il fantasmait. Finalement, c’est dans la nuit du 4 au 5 février que le pervers a mis en exécution son plan. En effet, il a attendu la nuit pour faire monter le jeune M. Diallo sur la terrasse.
Et sans aucune gêne, il s’était mis à abuser du garçon qui ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales. Et alors qu’il s’y attendait le moins, il a été surpris à l’œuvre par une dame qui vit dans la même maison. Seulement, cette dernière qui craignait d’avoir des querelles avec le mis en cause, avait préféré reprendre les escaliers, sans piper mot. Même si, plus tard, il en a parlé à la tante du garçon.
Le mis en cause échappe au lynchage
Entendue à titre de témoin, elle est revenue sur la scène, jurant la main sur le cœur, qu’elle a trouvé M. S. Diallo sur le petit. Finalement interpellé au rond-point Sahm, où il passe la nuit, le mis en cause a échappé à un lynchage.
En effet, c’est le cousin du petit qui était à sa recherche depuis lors, qui l’a retrouvé. Et comme un déchainé, il a commencé à le rouer de coups. Et lorsque les passants venus aux nouvelles, ont été informés des actes qu’il avait commis sur le malade mental, ces derniers se sont aussi rués sur lui.
Finalement, il n’a dû son salut qu’à la prompte intervention d’un tiers qui l’a conduit illico presto à la police, avant que l’irréparable ne se produise. Devant les enquêteurs, M. S. Diallo, déféré au parquet pour usage collectif de chanvre indien, a nié en bloc les accusations qui pèsent sur lui. «Je n’ai jamais eu de rapports sexuels avec le petit dont j’ignore d’ailleurs le nom», s’est-il défendu. Il a, par ailleurs, balayé d’un revers de main les déclarations du témoin. Ce qui ne l’a pas empêché d’être déféré au parquet pour le délit d’abus sexuel.
Dans la plainte déposée au commissariat de la Médina, le cousin de la victime explique que la nuit des faits, il était dans sa chambre en train de dormir, lorsqu’il a entendu un vacarme dans la cour de la maison. Mais puisqu’il était épuisé, il dit avoir continué son sommeil sans se préoccuper de ce qui se passait dans la maison.
Une attitude que lui a d’ailleurs reproché sa mère le lendemain, car en réalité, c’est au même moment qu’un individu qui fréquentait leur maison, a été surpris en train d’abuser de son cousin qui est un malade mental.
M. Saliou Diallo fréquente, en effet, cette famille depuis quelque temps, mais en réalité, à chaque fois qu’il était de passage, il avait un œil sur le malade mental sur qui il fantasmait. Finalement, c’est dans la nuit du 4 au 5 février que le pervers a mis en exécution son plan. En effet, il a attendu la nuit pour faire monter le jeune M. Diallo sur la terrasse.
Et sans aucune gêne, il s’était mis à abuser du garçon qui ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales. Et alors qu’il s’y attendait le moins, il a été surpris à l’œuvre par une dame qui vit dans la même maison. Seulement, cette dernière qui craignait d’avoir des querelles avec le mis en cause, avait préféré reprendre les escaliers, sans piper mot. Même si, plus tard, il en a parlé à la tante du garçon.
Le mis en cause échappe au lynchage
Entendue à titre de témoin, elle est revenue sur la scène, jurant la main sur le cœur, qu’elle a trouvé M. S. Diallo sur le petit. Finalement interpellé au rond-point Sahm, où il passe la nuit, le mis en cause a échappé à un lynchage.
En effet, c’est le cousin du petit qui était à sa recherche depuis lors, qui l’a retrouvé. Et comme un déchainé, il a commencé à le rouer de coups. Et lorsque les passants venus aux nouvelles, ont été informés des actes qu’il avait commis sur le malade mental, ces derniers se sont aussi rués sur lui.
Finalement, il n’a dû son salut qu’à la prompte intervention d’un tiers qui l’a conduit illico presto à la police, avant que l’irréparable ne se produise. Devant les enquêteurs, M. S. Diallo, déféré au parquet pour usage collectif de chanvre indien, a nié en bloc les accusations qui pèsent sur lui. «Je n’ai jamais eu de rapports sexuels avec le petit dont j’ignore d’ailleurs le nom», s’est-il défendu. Il a, par ailleurs, balayé d’un revers de main les déclarations du témoin. Ce qui ne l’a pas empêché d’être déféré au parquet pour le délit d’abus sexuel.
Rapporte Vipeoples .