Le favori pour la succession est Teodorin, surnommé Teodorino. Dans le gouvernement de son père, il est le deuxième vice-président du pays et il se murmure qu’il pourrait monter d’un échelon dans la hiérarchie après le scrutin de dimanche. Connu pour ses frasques, ses dépenses somptuaires à Paris ou à Rio et mis en cause à l’étranger, notamment en France, dans l’affaire des « biens mal acquis », il joue depuis quelques années un rôle politique à Malabo, tant dans le gouvernement qu’au sein du parti au pouvoir. Il est aussi très apprécié des jeunes.
« La Guinée-Equatoriale n’est pas une monarchie mais un Etat démocratique, a déclaré Teodoro Obiang dans un entretien à Jeune Afrique, dans lequel il assure que ce septennat est le dernier. Contrairement à l’image que les Occidentaux se font de lui, mon fils est un aficionado de la politique… S’il réussit, je n’y peux rien. Il serait injuste que son talent ne soit pas récompensé. » Autant dire qu’il aimerait le voir un jour diriger le pays. Après avoir été réélu dimanche.
Lemonde
« La Guinée-Equatoriale n’est pas une monarchie mais un Etat démocratique, a déclaré Teodoro Obiang dans un entretien à Jeune Afrique, dans lequel il assure que ce septennat est le dernier. Contrairement à l’image que les Occidentaux se font de lui, mon fils est un aficionado de la politique… S’il réussit, je n’y peux rien. Il serait injuste que son talent ne soit pas récompensé. » Autant dire qu’il aimerait le voir un jour diriger le pays. Après avoir été réélu dimanche.
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