En contrepartie, il a été attribué aux officiers généraux une indemnité de sujétion de 500.000 FCFA en omission des autres catégories d’officiers.
En fait le militaire peut être assujetti par un acte administratif (exemple d’un emploi à la retraite ou prime) enfin l’autre décret parle de la création d’une Ecole d’Officiers de la gendarmerie nationale. Ce corps a certes besoin d’effectifs officiers que l’Armée ne peut pas lui fournir sans dégarnir les siens, mais dans tous les pays du monde francophone, les officiers font obligatoirement une formation de tronc commun et chacun se spécialise après le premier grade d’officier (Sous-lieutenant) entre les Armées Terre/Air/Mer/Gendarmerie/Sapeurs-pompiers.
Donc ces deux textes légaux sont illégitimes et même dans la précarité liée à leur situation de retraites et de non sujétion, alors que leurs collègues des Université dans les mêmes conditions, après un an de contestations par écrit et médiatiques, se sont vus octroyer un supplément de 300.000 FCA.
Malheureusement, les officiers ne protestent pas, ils ne revendiquent mais les anciens dirigeants politiques connaissaient l’Armée pour l’avoir fait, à l’image du Présidents Senghor ancien caporal de l’Armée française ou leurs enfants. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Ce sujet remet sur la table l’employabilité et la reconversion des Colonels à la retraite que cette loi veut garder dans la précarité, sans aucune mesure compensatoire généralisée.
Le Président Macky Sall devrait corriger cette injustice que subissent les Colonels en retraite en cette veille de la fête nationale d’indépendance. Il faut dénoncer la prise des mesures dictées par le contexte politique. Car cette loi prise par Me Abdoulaye Wade, a été inspirée par les Assises nationales. Aujourd’hui, les Colonels des armées, ne pouvant pas, élever la voix subissent une injustice sans précédent.
En fait le militaire peut être assujetti par un acte administratif (exemple d’un emploi à la retraite ou prime) enfin l’autre décret parle de la création d’une Ecole d’Officiers de la gendarmerie nationale. Ce corps a certes besoin d’effectifs officiers que l’Armée ne peut pas lui fournir sans dégarnir les siens, mais dans tous les pays du monde francophone, les officiers font obligatoirement une formation de tronc commun et chacun se spécialise après le premier grade d’officier (Sous-lieutenant) entre les Armées Terre/Air/Mer/Gendarmerie/Sapeurs-pompiers.
Donc ces deux textes légaux sont illégitimes et même dans la précarité liée à leur situation de retraites et de non sujétion, alors que leurs collègues des Université dans les mêmes conditions, après un an de contestations par écrit et médiatiques, se sont vus octroyer un supplément de 300.000 FCA.
Malheureusement, les officiers ne protestent pas, ils ne revendiquent mais les anciens dirigeants politiques connaissaient l’Armée pour l’avoir fait, à l’image du Présidents Senghor ancien caporal de l’Armée française ou leurs enfants. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Ce sujet remet sur la table l’employabilité et la reconversion des Colonels à la retraite que cette loi veut garder dans la précarité, sans aucune mesure compensatoire généralisée.
Le Président Macky Sall devrait corriger cette injustice que subissent les Colonels en retraite en cette veille de la fête nationale d’indépendance. Il faut dénoncer la prise des mesures dictées par le contexte politique. Car cette loi prise par Me Abdoulaye Wade, a été inspirée par les Assises nationales. Aujourd’hui, les Colonels des armées, ne pouvant pas, élever la voix subissent une injustice sans précédent.