La cité Fayçal située au Croisement Cambérène vers le Technopole est un quartier résidentiel où il faisait bon vivre. Habiter en majorité par d'anciens hauts fonctionnaires de l'Etat. Mais depuis quelques années ce quartier paisible et accueillant est en train de perdre son lustre d'antan. Tout a commencé avec l'installation de quelques clandos qui font le trajet Croisement Cambérène-Case bi et vice-versa. Et comme toujours il faut un début pour qu'en suite le désordre s'installe.
Les habitants de la cité Fayçal, ne savent plus où donner de la tête. Les transporteurs clandestins communément appelés clando ont installé leur garages là-bas. Perturbant ainsi la quiétude du dit quartier. Les habitants fatigués assistent à des bagarres, des injures entre chauffeurs, coquesseurs et les clients, parfois essayent de régler le problème par eux-mêmes ce qui occasionne des disputes avec les chauffeurs clandos. Pire encore, ils font leurs besoins sur les murs créant une insalubrité et un environnement qui donne une mauvaise image de ce quartier paisible et tranquille jadis.
Fatigués de devoir toujours hausser le ton pour se frayer un passage à cause de l'anarchie qui y règne. Des voitures mal garées, souvent devant les résidences ce qui empêchent les habitants de vaquer à leurs préoccupations tranquillement. S'y ajoute l'insécurité, les agressions et les petits dealers qui y élisent domicile à certaines heures de la nuit.
Il fut un temps où les habitants avaient fait une pétition pour que les autorités déguerpissent ce garages, selon cette habitante sous le couvert de l'anonymat sa maison fait en face du garage, est à sa vingtième année dans la cité, raconte son calvaire. « Cela fait vingt ans que nous habitons la cité. Au temps, c'est très calme et paisible. Nous ne craignons pas et nous ne nous soucions pas des problèmes de sécurité. Il faisait bon vivre. Mais hélas, depuis quelques années le décor de notre environnement a complètement changé du fait de l'installation illégale du garage des clandos qui perturbent notre quiétude. Les barrages, les cris se font entendre à toute heure » se désole la dame visiblement affectée par les clandos. Elle poursuit pour alerter les autorités sur le danger auquel ils sont confrontés et demande un suivi des décisions des autorités.
"Nous voulons que ce garages soit déguerpi ici, une fois le Préfet était venu et les cantines ont été démolis, mais le lendemain ils sont revenus s'installer et depuis lors rien n'est fait. Vous vous imaginez le matin pour sortir ma voiture je perds jusqu'à 1 heure de temps parce qu'un chauffeur clando est stationné devant mon garage et le monsieur part tranquille gérer ses affaires. Finalement on se demande où sont les autorités et qu'est ce qui les empêche de donner suite à notre requête. En plus du stationnement anarchique s'ajoute la délinquance, il y a un mois quelqu'un s'est introduit dans la maison. C'était la première fois, nous ne connaissions pas cela avant. En tout vraiment nous sommes fatigués les autorités compétentes doivent réagir avant qu'il ne soit trop tard "prévient-elle.
À l’heure de pointe il est difficile de se frayer un chemin en plus des clandos les" Ware-Gainde " sont venus empirer la situation les devantures des maisons ont été transformées en parking et pour les voitures et les clients par défaut d'avoir un abri en attendant que les clients arrivent squat les devantures des maisons. Et pourtant ce garage clandestin est situé non loin du croisement ou très souvent les agents de sécurité sont en faction.
De l'avis de cet habitant qui essayer d'entrer dans son domicile mais impossible deux voitures se sont accrochées créant un bouchon et c'est récurent ce genre de fait.
"C'est ce que nous vivons chaque jour vraiment nous sommes fatigués. C'est inadmissible de laisser des gens s'installer illégalement perturbant notre quiétude à longueur de journée sans que personne ne vienne y mettre un terme. C'est à croire qu'il y a un deal parce qu'ils ne sont nullement inquiétés, au contraire c'est plutôt nous les résidents qui avons tous les problèmes du monde. Leur excuse c'est qu'ils travaillent, mais travailler ne veut pas dire déranger les honnêtes gens qui vivent ici. C'était un quartier calme, paisible mais aujourd'hui on ne sait pas comment faire pour retrouver notre cité avant l'avènement de ces clandos"explique monsieur Diouf habitant de la cité avec sa famille mais cet environnement malsain le rend perplexe et inquiet.
"Il suffit d'emprunter le chemin qui mène vers la cité que des individus m'interpellent pour te demander si tu voyages sur Thiès, Mbour, Diourbel etc. Parce qu'en plus des clandos les « Ware-Gainde » aussi se sont mêlés à la chose. Et c'est de plus en plus compliqué avec les enfants, un véritable problème d'insécurité se pose. Tous les jours ils font du tapage nocturne sans être inquiétés. Nous avons usé de tous les moyens dont nous disposons maintenant on interpelle les autorités, sinon nous allons trouver nos propres solutions car l'espace qu'ils occupent illégalement n'est pas destiné pour un garage", s'exclame-t-il.
Quoiqu'il en soit les habitants sont à bout de souffle, cette cohabitation avec le garage clandestin est un véritable problème tant pour l'environnement que pour la quiétude des populations. Les autorités étatiques doivent sévir pour mettre un terme au calvaire des résidents de la cité Fayçal .
Les habitants de la cité Fayçal, ne savent plus où donner de la tête. Les transporteurs clandestins communément appelés clando ont installé leur garages là-bas. Perturbant ainsi la quiétude du dit quartier. Les habitants fatigués assistent à des bagarres, des injures entre chauffeurs, coquesseurs et les clients, parfois essayent de régler le problème par eux-mêmes ce qui occasionne des disputes avec les chauffeurs clandos. Pire encore, ils font leurs besoins sur les murs créant une insalubrité et un environnement qui donne une mauvaise image de ce quartier paisible et tranquille jadis.
Fatigués de devoir toujours hausser le ton pour se frayer un passage à cause de l'anarchie qui y règne. Des voitures mal garées, souvent devant les résidences ce qui empêchent les habitants de vaquer à leurs préoccupations tranquillement. S'y ajoute l'insécurité, les agressions et les petits dealers qui y élisent domicile à certaines heures de la nuit.
Il fut un temps où les habitants avaient fait une pétition pour que les autorités déguerpissent ce garages, selon cette habitante sous le couvert de l'anonymat sa maison fait en face du garage, est à sa vingtième année dans la cité, raconte son calvaire. « Cela fait vingt ans que nous habitons la cité. Au temps, c'est très calme et paisible. Nous ne craignons pas et nous ne nous soucions pas des problèmes de sécurité. Il faisait bon vivre. Mais hélas, depuis quelques années le décor de notre environnement a complètement changé du fait de l'installation illégale du garage des clandos qui perturbent notre quiétude. Les barrages, les cris se font entendre à toute heure » se désole la dame visiblement affectée par les clandos. Elle poursuit pour alerter les autorités sur le danger auquel ils sont confrontés et demande un suivi des décisions des autorités.
"Nous voulons que ce garages soit déguerpi ici, une fois le Préfet était venu et les cantines ont été démolis, mais le lendemain ils sont revenus s'installer et depuis lors rien n'est fait. Vous vous imaginez le matin pour sortir ma voiture je perds jusqu'à 1 heure de temps parce qu'un chauffeur clando est stationné devant mon garage et le monsieur part tranquille gérer ses affaires. Finalement on se demande où sont les autorités et qu'est ce qui les empêche de donner suite à notre requête. En plus du stationnement anarchique s'ajoute la délinquance, il y a un mois quelqu'un s'est introduit dans la maison. C'était la première fois, nous ne connaissions pas cela avant. En tout vraiment nous sommes fatigués les autorités compétentes doivent réagir avant qu'il ne soit trop tard "prévient-elle.
À l’heure de pointe il est difficile de se frayer un chemin en plus des clandos les" Ware-Gainde " sont venus empirer la situation les devantures des maisons ont été transformées en parking et pour les voitures et les clients par défaut d'avoir un abri en attendant que les clients arrivent squat les devantures des maisons. Et pourtant ce garage clandestin est situé non loin du croisement ou très souvent les agents de sécurité sont en faction.
De l'avis de cet habitant qui essayer d'entrer dans son domicile mais impossible deux voitures se sont accrochées créant un bouchon et c'est récurent ce genre de fait.
"C'est ce que nous vivons chaque jour vraiment nous sommes fatigués. C'est inadmissible de laisser des gens s'installer illégalement perturbant notre quiétude à longueur de journée sans que personne ne vienne y mettre un terme. C'est à croire qu'il y a un deal parce qu'ils ne sont nullement inquiétés, au contraire c'est plutôt nous les résidents qui avons tous les problèmes du monde. Leur excuse c'est qu'ils travaillent, mais travailler ne veut pas dire déranger les honnêtes gens qui vivent ici. C'était un quartier calme, paisible mais aujourd'hui on ne sait pas comment faire pour retrouver notre cité avant l'avènement de ces clandos"explique monsieur Diouf habitant de la cité avec sa famille mais cet environnement malsain le rend perplexe et inquiet.
"Il suffit d'emprunter le chemin qui mène vers la cité que des individus m'interpellent pour te demander si tu voyages sur Thiès, Mbour, Diourbel etc. Parce qu'en plus des clandos les « Ware-Gainde » aussi se sont mêlés à la chose. Et c'est de plus en plus compliqué avec les enfants, un véritable problème d'insécurité se pose. Tous les jours ils font du tapage nocturne sans être inquiétés. Nous avons usé de tous les moyens dont nous disposons maintenant on interpelle les autorités, sinon nous allons trouver nos propres solutions car l'espace qu'ils occupent illégalement n'est pas destiné pour un garage", s'exclame-t-il.
Quoiqu'il en soit les habitants sont à bout de souffle, cette cohabitation avec le garage clandestin est un véritable problème tant pour l'environnement que pour la quiétude des populations. Les autorités étatiques doivent sévir pour mettre un terme au calvaire des résidents de la cité Fayçal .