Après le Prytanée Militaire de Saint-Louis, Makhtar Diop a fréquenté l'Université de Dakar, avant d'embrasser une carrière de journaliste. Son livre réquisitoire interpelle la presse sur les combines entre journalistes et politiciens, animateurs et artistes, entre autres, renseigne "Rewmi".
D’après Ben Mactar Diop, la motivation essentielle, c’est de redonner au journalisme sénégalais, ses lettres de noblesse. “J’ai voyagé dans pas mal de pays et j’ai pu former pas mal de journalistes africains. Je me rends compte que le journalisme sénégalais avait du talent, mais malheureusement, depuis quelques années, on sent un affaissement du niveau. il ne faut plus que le journaliste soit assimilé à un ''menteur''.”A l’en croire, la corruption, ce n’est pas l’argent qu’on donne, il y a beaucoup de tares, le business-presse. “On a des politiciens qui ont des organes de presse, des hommes d’affaires, comme quoi l’information intéresse tout le monde. Je parle des animateurs, alors qu'on a beaucoup plus d'amuseurs publics. La réalité est que si on ne fait pas attention, cette presse va totalement s’affaisser'', avertit le journaliste écrivain.
D’après Ben Mactar Diop, la motivation essentielle, c’est de redonner au journalisme sénégalais, ses lettres de noblesse. “J’ai voyagé dans pas mal de pays et j’ai pu former pas mal de journalistes africains. Je me rends compte que le journalisme sénégalais avait du talent, mais malheureusement, depuis quelques années, on sent un affaissement du niveau. il ne faut plus que le journaliste soit assimilé à un ''menteur''.”A l’en croire, la corruption, ce n’est pas l’argent qu’on donne, il y a beaucoup de tares, le business-presse. “On a des politiciens qui ont des organes de presse, des hommes d’affaires, comme quoi l’information intéresse tout le monde. Je parle des animateurs, alors qu'on a beaucoup plus d'amuseurs publics. La réalité est que si on ne fait pas attention, cette presse va totalement s’affaisser'', avertit le journaliste écrivain.