K. Dieng explique que le 20 décembre dernier, vers les coups de 16 heures, il était à la recherche de client lorsqu'il s'est fait héler par un homme qui voulait se rendre à Thiès. Tout de suite, ils ont commencé à discuter du prix avant de tomber d'accord sur le montant de 31 000 francs. Somme qu'il devait payer, renseigne Le Populaire, une fois arrivé à Thiès. Mais le hic, c'est qu'une fois arrivé à destination, M. Ndiaye, qui se dit ingénieur en informatique, était dans l'impossibilité d'honorer ses engagements. Voyant que le chauffeur de taxi commençait à s'énerver, il lui a dit qu'il ne retrouvait pas la personne qui devait payer les frais de transport. Sa victime, menaçant de le conduire à la police de Thiès, le jeune homme lui propose alors de retourner sur Dakar pour que son père puisse payer. Mais, arrivé à Dakar, il a voulu se fondre dans la nature en arguant vouloir descendre du véhicule pour aller à la recherche de la personne qui devait payer. Ayant compris son jeu et convaincu qu'il avait affaire à un escroc, le chauffeur de taxi a dit niet avant de se résoudre à le conduire au commissariat.
Interrogé, le mis en cause a reconnu sans ambages les faits à lui reprochés. Mais, il n'était pas au bout de ses peines car, quelques heures après, un autre taximen du nom de N. Sèye, qui avait certainement eu vent de l'arrestation de l'escroc, a lui aussi rappliqué pour déposer une plainte pour des faits similaires. N. Sèye de narrer sa mésaventure avec M. Ndiaye. En effet, après avoir formellement identifié le prévenu, il a expliqué aux limiers qu'il a subi le même sort que son collègue K. Dieng, sauf que dans son cas, le mis en cause, qui l'avait amené à Thiès, l'a fait poireauter dans les ruelles de la cité du Rail, de 14 heures à 19 heures, avant de disparaître dans la nature, sans bourse délier. Pour ce cas-ci, le sieur Ndiaye avait interpellé le chauffeur de taxi à hauteur de Rebeuss pour une course à Thiès en prétendant qu'un de ses amis taximen avait été arrêté et qu'il avait perdu ses pièces qu'il avait lui-même ramassé. C'est ainsi qu'il lui a passé au téléphone un individu qui se proclamait propriétaire du taxi en question. C'est d'ailleurs ce dernier qui aurait négocié le prix du transport qui a été arrêté à 30 000 francs.
Seulement, lorsqu'ils sont arrivés à Thiès, le mis en cause lui a montré une maison où il devait entrer en faisant une marche arrière. Et avant de descendre du véhicule, il a demandé au chauffeur de taxi de lui prêter son portable pour, disait-il, contacter le propriétaire des pièces ramassées. Mais, profitant d'un moment d'inattention de N. Sèye, il est passé par deux ateliers qui donnaient sur une autre sortie dans une ruelle, pour fondre dans la nature, emportant avec lui le téléphone flambant neuf du chauffeur de taxi. C'est un mécanicien, indique le journal, qui n'avait rien raté de la scène, qui a dit à ce dernier qu'il venait de se faire arnaquer et que le prévenu est un habitué des faits.
Devant de telles accusations, M. Ndiaye a tenté de se disculper en faisant porter le chapeau à la personne qui prétendument devait payer le prix du transport. Malgré ses justifications, il a été déféré au parquet.
Interrogé, le mis en cause a reconnu sans ambages les faits à lui reprochés. Mais, il n'était pas au bout de ses peines car, quelques heures après, un autre taximen du nom de N. Sèye, qui avait certainement eu vent de l'arrestation de l'escroc, a lui aussi rappliqué pour déposer une plainte pour des faits similaires. N. Sèye de narrer sa mésaventure avec M. Ndiaye. En effet, après avoir formellement identifié le prévenu, il a expliqué aux limiers qu'il a subi le même sort que son collègue K. Dieng, sauf que dans son cas, le mis en cause, qui l'avait amené à Thiès, l'a fait poireauter dans les ruelles de la cité du Rail, de 14 heures à 19 heures, avant de disparaître dans la nature, sans bourse délier. Pour ce cas-ci, le sieur Ndiaye avait interpellé le chauffeur de taxi à hauteur de Rebeuss pour une course à Thiès en prétendant qu'un de ses amis taximen avait été arrêté et qu'il avait perdu ses pièces qu'il avait lui-même ramassé. C'est ainsi qu'il lui a passé au téléphone un individu qui se proclamait propriétaire du taxi en question. C'est d'ailleurs ce dernier qui aurait négocié le prix du transport qui a été arrêté à 30 000 francs.
Seulement, lorsqu'ils sont arrivés à Thiès, le mis en cause lui a montré une maison où il devait entrer en faisant une marche arrière. Et avant de descendre du véhicule, il a demandé au chauffeur de taxi de lui prêter son portable pour, disait-il, contacter le propriétaire des pièces ramassées. Mais, profitant d'un moment d'inattention de N. Sèye, il est passé par deux ateliers qui donnaient sur une autre sortie dans une ruelle, pour fondre dans la nature, emportant avec lui le téléphone flambant neuf du chauffeur de taxi. C'est un mécanicien, indique le journal, qui n'avait rien raté de la scène, qui a dit à ce dernier qu'il venait de se faire arnaquer et que le prévenu est un habitué des faits.
Devant de telles accusations, M. Ndiaye a tenté de se disculper en faisant porter le chapeau à la personne qui prétendument devait payer le prix du transport. Malgré ses justifications, il a été déféré au parquet.