« Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu’il aime » (Lc 2, 14). Cette phrase tirée de Saint Luc sera lue et relue dans les églises pour marquer la fête de la Nativité de Jésus-Christ. Les chrétiens ont préparé pendant tout le temps de l’Avent, cette manifestation festive marquant l’anniversaire de la naissance de Jésus-Christ, appelé Noël. C’est un mot latin qui vient de « natalis » qui signifie la naissance. C’est la fête de la naissance de Jésus-Christ pour les chrétiens. Cette naissance, c’est la joie de Dieu et celle des hommes, comme le disent souvent les textes de l’Eglise « un sauveur nous est née en à la personne de Jésus-Christ ». Pour les chrétiens, la naissance du fils de Marie et de Joseph est une immense délivrance, un grand espoir pour toute l’humanité, car c’est ce Jésus qui, au soir du vendredi saint, après avoir souffert et subir des humiliations infligées par le peuple juif en plein cœur de Jérusalem.
Heureusement, il sortira vainqueur de cette mort et fera renaitre de l’espoir dans le monde. La fête de Noël précède alors tous ces événements parce qu’étant une fête d’espoir avec la naissance du fils de Dieu. Jésus étant lui-même fils de Dieu, c’est ce que les chrétiens appellent le mystère de l’incarnation, c’est-à -dire « Dieu qui n’est pas homme a choisi de venir parler directement aux hommes ». Il a d’ailleurs choisi de naître dans un milieu pauvre à côté des bergers qui se chargeront d’annoncer la bonne nouvelle au peuple de Bethléem. Avec la naissance de Jésus, le peuple chrétien est invité à la joie parce que tout simplement le monde reçoit la visite de Dieu. Jésus vient faire de nous ce que nous sommes, des fils de Dieu. Il s’agit, à chacun de nous, de revenir à notre naissance, celle de notre baptême. Il nous faut réapprendre l’identité, la plus profonde de notre être, celle de l’enfant tendrement animé du Père. Pour beaucoup de religieux chrétiens en particulier catholiques, Noël est considéré comme une fête des enfants parce que Jésus est un enfant. C’est pour cette raison que cette fête, la plus populaire, est une occasion pour les enfants de toutes les catégories sociales de retrouver le sourire. « Alors que chaque fois qu’un enfant est maltraité, c’est le corps du Christ qui est atteint, qui est blessé et défiguré », avait prêché le cardinal Théodore Adrien Sarr. Il disait aussi que Jésus en venant aux hommes sous le visage d’un bébé s’est fait homme en nous appelant à respecter tout enfant notamment sa dignité et ses droits comme Lui-même.
SOLEIL Eugène KALY
Heureusement, il sortira vainqueur de cette mort et fera renaitre de l’espoir dans le monde. La fête de Noël précède alors tous ces événements parce qu’étant une fête d’espoir avec la naissance du fils de Dieu. Jésus étant lui-même fils de Dieu, c’est ce que les chrétiens appellent le mystère de l’incarnation, c’est-à -dire « Dieu qui n’est pas homme a choisi de venir parler directement aux hommes ». Il a d’ailleurs choisi de naître dans un milieu pauvre à côté des bergers qui se chargeront d’annoncer la bonne nouvelle au peuple de Bethléem. Avec la naissance de Jésus, le peuple chrétien est invité à la joie parce que tout simplement le monde reçoit la visite de Dieu. Jésus vient faire de nous ce que nous sommes, des fils de Dieu. Il s’agit, à chacun de nous, de revenir à notre naissance, celle de notre baptême. Il nous faut réapprendre l’identité, la plus profonde de notre être, celle de l’enfant tendrement animé du Père. Pour beaucoup de religieux chrétiens en particulier catholiques, Noël est considéré comme une fête des enfants parce que Jésus est un enfant. C’est pour cette raison que cette fête, la plus populaire, est une occasion pour les enfants de toutes les catégories sociales de retrouver le sourire. « Alors que chaque fois qu’un enfant est maltraité, c’est le corps du Christ qui est atteint, qui est blessé et défiguré », avait prêché le cardinal Théodore Adrien Sarr. Il disait aussi que Jésus en venant aux hommes sous le visage d’un bébé s’est fait homme en nous appelant à respecter tout enfant notamment sa dignité et ses droits comme Lui-même.
SOLEIL Eugène KALY