Ce sont des statistiques qui font froid dans le dos. Depuis le mois de janvier 2022, au moins 23 accidents ayant occasionné la mort de 15 personnes et plusieurs blessés, ont été enregistrés dans la commune de Tattaguine, traversée de part en part par la Route nationale n°1.
La révélation est du sous-préfet de l’arrondissement de Tattaguine, qui recevait les populations de cette localité du département de Fatick, qui, mobilisées comme un seul homme, ont battu le macadam, le samedi 30 avril 2022, pour protester contre la recrudescence des accidents sur ce tronçon et exiger, entre autres, l’érection de ralentisseurs, la mise en service du poste de gendarmerie, construit il y a plus d’un an maintenant.
Selon Aliou Wade, ces statistiques macabres pourraient même être en deçà de celles que détiennent les sapeurs-pompiers. Après avoir reçu le mémorandum de ces marcheurs qui ont bravé la chaleur torride de ce mois de Ramadan, l’autorité administrative a promis de le transmettre à qui de droit, tout en laissant entendre qu’elle est déjà rassurée de la suite qui sera donnée à cette requête par les plus hautes autorités étatiques.
«Aujourd’hui, il y a des prémices d’une solution avec les instructions données par le président de la République lors du dernier Conseil des ministres, pour l’aménagement de ralentisseurs au niveau des point officiels indiqués», a rappelé avec beaucoup d’optimisme, le sous-préfet.
Lequel a, par ailleurs, invité les protestataires à faire preuve de patience et de retenue, en vue d’une issue heureuse à leurs revendications auxquelles il a dit être très sensible. Rappelons que cette marche, initiée par le Mouvement des cœurs verts de Tattaguine, a été organisée une semaine seulement après la survenue, le dimanche 24 avril, à quelques minutes d’intervalle, de deux accidents ayant causé la mort de 8 personnes.
Le Quotidien
La révélation est du sous-préfet de l’arrondissement de Tattaguine, qui recevait les populations de cette localité du département de Fatick, qui, mobilisées comme un seul homme, ont battu le macadam, le samedi 30 avril 2022, pour protester contre la recrudescence des accidents sur ce tronçon et exiger, entre autres, l’érection de ralentisseurs, la mise en service du poste de gendarmerie, construit il y a plus d’un an maintenant.
Selon Aliou Wade, ces statistiques macabres pourraient même être en deçà de celles que détiennent les sapeurs-pompiers. Après avoir reçu le mémorandum de ces marcheurs qui ont bravé la chaleur torride de ce mois de Ramadan, l’autorité administrative a promis de le transmettre à qui de droit, tout en laissant entendre qu’elle est déjà rassurée de la suite qui sera donnée à cette requête par les plus hautes autorités étatiques.
«Aujourd’hui, il y a des prémices d’une solution avec les instructions données par le président de la République lors du dernier Conseil des ministres, pour l’aménagement de ralentisseurs au niveau des point officiels indiqués», a rappelé avec beaucoup d’optimisme, le sous-préfet.
Lequel a, par ailleurs, invité les protestataires à faire preuve de patience et de retenue, en vue d’une issue heureuse à leurs revendications auxquelles il a dit être très sensible. Rappelons que cette marche, initiée par le Mouvement des cœurs verts de Tattaguine, a été organisée une semaine seulement après la survenue, le dimanche 24 avril, à quelques minutes d’intervalle, de deux accidents ayant causé la mort de 8 personnes.
Le Quotidien