Malheureusement pour Mamadou Niang, les lumières l’abandonnent peu à peu. Star dans tout Marseille, l’attaquant connaît une fin de carrière difficile, perdu à Arles Avignon. Samedi, en rentrant de Valenciennes et d’une nouvelle défaite 3-0, les nerfs ont lâché. Enquillant verre sur verre, Mamad Niang n’avait qu’un but: se changer les idées. Mais trop de grammes tuent le procédé !
Vers 6 heures du matin, après qu’une jeune avignonnaise ait refusé les avances d’un « looser qui pue l’Anglais », le pauvre Mamad a commis l’acte de trop. Contrôlé par une patrouille de police, il a sorti son sexe pour uriner sur les chaussures du brigadier-chef, Jacques Ricard. Pour nous, il témoigne :
« De patrouille, nous avons constaté la présence d’un individu de type africain présentant les symptômes de l’ivresse publique manifeste. Nous lui avons alors gentiment demandé de nous suivre. Mais mon collègue, fan de pétanque mais aussi de football, a cru reconnaître Souleymane Diawara. A peine, il avait prononcé le nom que M. Niang se rebellait et urinait sur moi en vociférant des mots incompréhensibles.»
Présenté au juge ce lundi matin, Mamadou Niang a été écroué aux Baumettes. Invité à s’exprimer sur les faits, sa défense fût digne d’un Grégoire Puel. Selon ses proches, le mal-être serait profond. Abdou Niang, son frère, nous rapporte :
« Depuis l’incarcération de Souley Diawara, Mamad n’est plus pareil. Son pote lui manque. Il boit mais Souley n’est plus là pour le resservir, il va en boîte mais personne ne l’accompagne et pis, il ramène des filles dans son lit et nul ne peut tenir la caméra pour filmer. Sa crise n’est pas le fruit du hasard. Je pense tout simplement qu’il a commis ce hara-kiri pour rejoindre au plus vite Souley aux Baumettes même si les belles filles et l’alcool seront remplacés par des gardiens de prison et des fouilles au corps. »
Les deux compères réunis, les Baumettes risquent donc de connaître des fêtes endiablées !
Vers 6 heures du matin, après qu’une jeune avignonnaise ait refusé les avances d’un « looser qui pue l’Anglais », le pauvre Mamad a commis l’acte de trop. Contrôlé par une patrouille de police, il a sorti son sexe pour uriner sur les chaussures du brigadier-chef, Jacques Ricard. Pour nous, il témoigne :
« De patrouille, nous avons constaté la présence d’un individu de type africain présentant les symptômes de l’ivresse publique manifeste. Nous lui avons alors gentiment demandé de nous suivre. Mais mon collègue, fan de pétanque mais aussi de football, a cru reconnaître Souleymane Diawara. A peine, il avait prononcé le nom que M. Niang se rebellait et urinait sur moi en vociférant des mots incompréhensibles.»
Présenté au juge ce lundi matin, Mamadou Niang a été écroué aux Baumettes. Invité à s’exprimer sur les faits, sa défense fût digne d’un Grégoire Puel. Selon ses proches, le mal-être serait profond. Abdou Niang, son frère, nous rapporte :
« Depuis l’incarcération de Souley Diawara, Mamad n’est plus pareil. Son pote lui manque. Il boit mais Souley n’est plus là pour le resservir, il va en boîte mais personne ne l’accompagne et pis, il ramène des filles dans son lit et nul ne peut tenir la caméra pour filmer. Sa crise n’est pas le fruit du hasard. Je pense tout simplement qu’il a commis ce hara-kiri pour rejoindre au plus vite Souley aux Baumettes même si les belles filles et l’alcool seront remplacés par des gardiens de prison et des fouilles au corps. »
Les deux compères réunis, les Baumettes risquent donc de connaître des fêtes endiablées !