Mais où est donc passée l’efficacité de nos glorieux services de sécurité ? Plus de treize jours que l’ennemi public numéro « 1 », celui que l’on présentait comme étant le « cerveau » de la « Farce spéciale », pardon, « Force spéciale » s’est évadé de prison et nos limiers, qu’ils soient policiers ou gendarmes, peinent encore à le retrouver. Plus de temps qu’il n’a fallu pour l’arrêter alors qu’il dégageait une pêche d’enfer. Mourant, il continue de narguer nos flics et nos gendarmes. De quoi douter de l’efficacité de nos forces de défense et craindre pour notre sécurité. Surtout que, quelques jours auparavant, des rebelles venus de la Casamance dans le dessein de profiter de la manifestation de l’opposition pour mettre Dakar à feu et à sang se sont évaporés comme par enchantement dans la nature.
Là aussi, c’est le même scénario. Personne ne sait où se trouvent ces « méchants » qui ont voulu semer le chaos dans la capitale. Un seul « affreux », selon les bons mots d’un des scénaristes de cette grotesque comédie, a été arrêté alors qu’il se faisait consulter dans l’infirmerie d’une société de transport public. Bien maigre comme exploit pour un si dangereux rebelle. Et pourtant, notre inénarrable procureur de la République avait annoncé urbi et orbi que ces dangereux rebelles casamançais ne perdaient rien pour attendre vu que toutes les forces de police et de gendarmerie de la capitale étaient à leurs trousses. Depuis lors, pas un seul semblant de rebelle n’a été pris. De deux choses l’une : ou ces dangereux rebelles sont diablement efficaces et nos forces de sécurité terriblement nulles, ou alors ils n’existaient en réalité que dans l’esprit du procureur et des auteurs de ce scénario de navet. En tout cas, un redoutable « caïd » est dans la nature et il pourrait perpétrer des actes terroristes à tout moment. Mais que fait donc la Police ? Quant à celui que l’on présente comme étant l’instigateur de cette « Farce spéciale », il se la coule douce en pantoufles à Panam. Il n’est nullement inquiété par la police française qui ne coopère pas avec celle de ce charmant pays. Dans ce lot de ces dangereux tueurs, une mère de famille de 52 ans dont les voisins louent l’humanisme et à propos de laquelle ils disent qu’elle ne peut même pas faire de mal à une mouche.
Une dame présentée par notre glorieuse police comme une sorte de Ma Baker, cette criminelle américaine qui opérait à la tête d’un gang composé de ses propres enfants et dont l’histoire a été rendue plus célèbre par un tube du groupe Boney M. Pour ce qui est de notre dame de Médina Gounass, le plus attendrissant a été de voir des mômes de son quartier manifester, réclamant leur maman poule. Bien entendu, la police ne s’est pas déployée sur les lieux pour mettre fin à la marche des gamins. Hélas, cette grotesque comédie de « farce spéciale » s’est malheureusement terminée par la mort d’un innocent. Une patate chaude entre les mains du pouvoir dont les courtisans sont dans la manipulation…
Là aussi, c’est le même scénario. Personne ne sait où se trouvent ces « méchants » qui ont voulu semer le chaos dans la capitale. Un seul « affreux », selon les bons mots d’un des scénaristes de cette grotesque comédie, a été arrêté alors qu’il se faisait consulter dans l’infirmerie d’une société de transport public. Bien maigre comme exploit pour un si dangereux rebelle. Et pourtant, notre inénarrable procureur de la République avait annoncé urbi et orbi que ces dangereux rebelles casamançais ne perdaient rien pour attendre vu que toutes les forces de police et de gendarmerie de la capitale étaient à leurs trousses. Depuis lors, pas un seul semblant de rebelle n’a été pris. De deux choses l’une : ou ces dangereux rebelles sont diablement efficaces et nos forces de sécurité terriblement nulles, ou alors ils n’existaient en réalité que dans l’esprit du procureur et des auteurs de ce scénario de navet. En tout cas, un redoutable « caïd » est dans la nature et il pourrait perpétrer des actes terroristes à tout moment. Mais que fait donc la Police ? Quant à celui que l’on présente comme étant l’instigateur de cette « Farce spéciale », il se la coule douce en pantoufles à Panam. Il n’est nullement inquiété par la police française qui ne coopère pas avec celle de ce charmant pays. Dans ce lot de ces dangereux tueurs, une mère de famille de 52 ans dont les voisins louent l’humanisme et à propos de laquelle ils disent qu’elle ne peut même pas faire de mal à une mouche.
Une dame présentée par notre glorieuse police comme une sorte de Ma Baker, cette criminelle américaine qui opérait à la tête d’un gang composé de ses propres enfants et dont l’histoire a été rendue plus célèbre par un tube du groupe Boney M. Pour ce qui est de notre dame de Médina Gounass, le plus attendrissant a été de voir des mômes de son quartier manifester, réclamant leur maman poule. Bien entendu, la police ne s’est pas déployée sur les lieux pour mettre fin à la marche des gamins. Hélas, cette grotesque comédie de « farce spéciale » s’est malheureusement terminée par la mort d’un innocent. Une patate chaude entre les mains du pouvoir dont les courtisans sont dans la manipulation…