Dans certains cercles bien informés, il se susurre que les troupes sénégalaises pourraient ne jamais quitter la capitale. Tout semble dépendre, à en croire le journal, du développement de la situation sur le terrain au Yémen où s'affrontent troupes loyalistes (armées par l'Arabie Saoudite) et Houthis (proches de l'Iran). Si le Sénégal a déjà déclaré qu'il est fin prêt depuis le début (ce qui reste vrai), Ryad ne s'empresse pas pour le moment, vu d'ailleurs que la situation militaire ne lui est pas défavorable. En tout cas, pas pour le moment.
Partis de Saada (Nord du Yémen) en juillet 2014, les Houthis étaient entrés dans Sanaa deux mois plus tard avant de chasser le gouvernement au début de l'année 2015 et de s'emparer de vastes régions. Mais, aujouird'hui, ils sont en grande difficulté au point que, selon plusieurs sources concordantes, Ryad n'ait plus besoin d'un coup de pouce venant du Sénégal. D'après nos confrères, ce qui est sûr, c'est que le Sénégal semblait bien comprendre, dès le départ, qu'il avait tout à gagner dans une opération de communication qui la placerait dans le cœur de l'Arabie Saoudite, traditionnellement liée au Sénégal.
Partis de Saada (Nord du Yémen) en juillet 2014, les Houthis étaient entrés dans Sanaa deux mois plus tard avant de chasser le gouvernement au début de l'année 2015 et de s'emparer de vastes régions. Mais, aujouird'hui, ils sont en grande difficulté au point que, selon plusieurs sources concordantes, Ryad n'ait plus besoin d'un coup de pouce venant du Sénégal. D'après nos confrères, ce qui est sûr, c'est que le Sénégal semblait bien comprendre, dès le départ, qu'il avait tout à gagner dans une opération de communication qui la placerait dans le cœur de l'Arabie Saoudite, traditionnellement liée au Sénégal.