Dans un entretien accordé à Jeune Afrique, Kabirou Mbodje admet avoir reçu chez lui trois des plaignantes : deux Marocaines, l’une âgée de 39 ans, l’autre d’une vingtaine d’années, ainsi qu’une Nigériane la vingtaine également. Il nie toutefois les accusations de viol et avoir entretenu des relations sexuelles avec les victimes. “Je n’ai jamais été seul avec elles.
L’ami qui me les a présentées est parti alors que les deux premières avaient déjà quitté l’appartement. Quant à mon amie russe, elle a dormi chez moi”, clame le fondateur de la plateforme de transfert Wari.
Kabirou Mbodje dénonce un complot. « Ce complot me cause énormément de tort. J’espère que l’enquête le démontrera : je suis un homme honnête, sans histoire et qui ne fait du tort à personne. Je suis une victime », martèle-t-il.
Entretien accordé à Jeune Afrique, Kabirou Mbodje
L’ami qui me les a présentées est parti alors que les deux premières avaient déjà quitté l’appartement. Quant à mon amie russe, elle a dormi chez moi”, clame le fondateur de la plateforme de transfert Wari.
Kabirou Mbodje dénonce un complot. « Ce complot me cause énormément de tort. J’espère que l’enquête le démontrera : je suis un homme honnête, sans histoire et qui ne fait du tort à personne. Je suis une victime », martèle-t-il.
Entretien accordé à Jeune Afrique, Kabirou Mbodje