Décidément, Octobre n’a pas été un long fleuve tranquille pour la très talentueuse artiste Coumba Gawlo Seck.
En effet, quelques semaines après avoir perdu son père (Laye Bamba rappelé à Dieu, le 08 octobre dernier) qu’elle pleure aujourd’hui plus qu’hier, voilà que la musicienne de renom fait face à un autre croche-pied du destin. En étant victime d’un cambriolage.
Selon des sources de Actusen.com, c’est de retour d’un voyage sur Abidjan, où elle était partie prendre part à la Conférence des Premières Dames d’Afrique de l’Ouest et du Sahel sur la lutte contre les violences faites aux enfants et l’autonomisation des femmes, que Coumba Gawlo Seck s’est rendue compte que son domicile situé à Diamalaye a été cambriolé.
Sur place, le(s) malfrat(s) défonce(ent) les portes de sa chambre et de son armoire puis fait ou font main basse sur sa boîte de bijoux en or. Dont la valeur financière reste, jusqu’ici, entourée d’un grand mystère. Ou, du moins, pour Actusen.com.
Joint par téléphone par Actusen.com, le Service de presse de l’artiste se la joue franc et transparent : « les faits sont avérés. Et ils ont eu lieu lors d’une Conférence des 1ères dames de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel », dit-il.
Pour autant, renchérit le Service de communication, Coumba Gawlo Seck est plus préoccupée à faire le deuil de son regretté père plutôt qu’à spéculer sur ce vol. Au début, elle avait pensé porter plainte contre X. Mais finalement, sa famille l’en a dissuadée ». Communiqué de presse de gomedia
Coumba Gawlo : « Ce coup de couteau dans le dos est un autre hasard du destin »
Contrairement à la rumeur distillait sur le vol des bijoux de Coumba Gawlo faisant état d’un cambriolage à l’hôtel Sofitel ou l’artiste a séjourné durant son récent voyage en Côte d’Ivoire, pour les besoins de la conférence des Premières Dames d’Afrique de l’ouest et du Sahel, c’est ici à Dakar dans son domicile de Diamalaye, que les malheureux faits de sont déroulés. Après constat et concertation avec sa famille, encore éplorée par la douleur, l’artiste a décidé de taire son sort en attendant de sécher ses larmes. Ce coup de couteau dans le dos est un autre hasard du destin.
Maintenant entre ceux qui trahissent les faits pour rajouter à la douleur et ceux qui en auront pour leur conscience, il faut savoir raison garder pour éviter de fouiller la vie privée des gens.
En effet, quelques semaines après avoir perdu son père (Laye Bamba rappelé à Dieu, le 08 octobre dernier) qu’elle pleure aujourd’hui plus qu’hier, voilà que la musicienne de renom fait face à un autre croche-pied du destin. En étant victime d’un cambriolage.
Selon des sources de Actusen.com, c’est de retour d’un voyage sur Abidjan, où elle était partie prendre part à la Conférence des Premières Dames d’Afrique de l’Ouest et du Sahel sur la lutte contre les violences faites aux enfants et l’autonomisation des femmes, que Coumba Gawlo Seck s’est rendue compte que son domicile situé à Diamalaye a été cambriolé.
Sur place, le(s) malfrat(s) défonce(ent) les portes de sa chambre et de son armoire puis fait ou font main basse sur sa boîte de bijoux en or. Dont la valeur financière reste, jusqu’ici, entourée d’un grand mystère. Ou, du moins, pour Actusen.com.
Joint par téléphone par Actusen.com, le Service de presse de l’artiste se la joue franc et transparent : « les faits sont avérés. Et ils ont eu lieu lors d’une Conférence des 1ères dames de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel », dit-il.
Pour autant, renchérit le Service de communication, Coumba Gawlo Seck est plus préoccupée à faire le deuil de son regretté père plutôt qu’à spéculer sur ce vol. Au début, elle avait pensé porter plainte contre X. Mais finalement, sa famille l’en a dissuadée ». Communiqué de presse de gomedia
Coumba Gawlo : « Ce coup de couteau dans le dos est un autre hasard du destin »
Contrairement à la rumeur distillait sur le vol des bijoux de Coumba Gawlo faisant état d’un cambriolage à l’hôtel Sofitel ou l’artiste a séjourné durant son récent voyage en Côte d’Ivoire, pour les besoins de la conférence des Premières Dames d’Afrique de l’ouest et du Sahel, c’est ici à Dakar dans son domicile de Diamalaye, que les malheureux faits de sont déroulés. Après constat et concertation avec sa famille, encore éplorée par la douleur, l’artiste a décidé de taire son sort en attendant de sécher ses larmes. Ce coup de couteau dans le dos est un autre hasard du destin.
Maintenant entre ceux qui trahissent les faits pour rajouter à la douleur et ceux qui en auront pour leur conscience, il faut savoir raison garder pour éviter de fouiller la vie privée des gens.