Elles sont alors déférées pour exploitation d’un établissement public sans autorisation administrative, incitation à la débauche, diffusion d’images à caractère pornographique, proxénétisme et non inscription au fichier sanitaire.
Ces trois jeunes filles, informe Vox Populi, ont été perdues par des annonces passées sur internet. Des annonces avec des images à caractères pornographiques qui étaient diffusées en boucle sur le net.
Senego