Les populations de Wendou Bosseabé affi- chent le sourire. Grâce aux périmètres agri- coles aménagés en 2006 par l’homme d’affaires, Harouna Dia, elles ont atteint, au- jourd’hui, l’autosuffisance alimentaire. Ces populations ont annoncé la bonne nouvelle devant l’ex-Directrice des opérations de la Banque mondiale, au Sénégal, Vera Songwé, qui a effectué une visite dans ces périmètres. Un rêve qui est devenu une réa- lité dans cette contrée grâce à l’entregent de cet ingénieur hydraulicien établi au pays des hommes intègres. Ce projet s’étend sur 45 hectares dont 25 hectares pour les hommes et 20 pour les femmes. Selon les responsables, le projet a connu une exten- sion d’une nouvelle superficie de 30 hec- tares avec des magasins de stockage. Aussi, la construction de deux forages intercon- nectés par le réseau électrique de la Sene- lec sur les bords du fleuve «le Dioulol» a-t-elle été entièrement financée par Ha- rona Dia. Mieux, un groupe électrogène de 110 Kwa est mis à la disposition des bénéfi- ciaires en cas de défaillance technique ou
Le système Ibk en cause
de coupure d’électricité. Le système d’irri- gation par les asperseurs permet non seu- lement la maitrise de l’eau mais surtout la possibilité de cultiver toute l’année. Autant de facteurs qui ont poussé les hommes à réussir, cette année, une deuxième cam- pagne agricole pour le maïs et le Gombo en contre saison.
Du côté des quelques 800 femmes bénéfi- ciaires, elles sont constituées en groupe- ments d’intérêt économique et cultivent pendant toute l’année des produits variés comme le Gombo, la carotte, la pommes de terres, la pastèque, le choux, et le riz. Des productions record enregistrées cette année qui les amènent à faire le tour des marchés hebdomadaires des villages envi- ronnants comme Semmé, Sinthiou Ba- mambe, Aouré, Waounde, Bokiladji en vue de les écouler pour espérer investir dans d’autres activités génératrices de revenus. Selon leur présidente, Mbara Ba, les femmes de Wendou Bosseabé subviennent à leurs besoins et elles ne font que remer- cier leur bienfaiteur et ami du Président
Macky Sall. D’après Vera Songwe, ce projet de Wendou Bosseabé constitue un modèle de développement économique. «Le Pôle de développement économique en construction a de beaux jours avec Ha- rouna Dia», dira-t-elle. Non sans annoncer un appui de la Banque mondiale aux
femmes de la localité afin d’agrandir leur exploitation. Les témoignages en disent long sur le fait que les jeunes de Wendou Bosseabé et environs ne veulent plus émi- grer et préfèrent gagner leur vie dans ces périmètres de leur «bienfaiteur».
Le système Ibk en cause
de coupure d’électricité. Le système d’irri- gation par les asperseurs permet non seu- lement la maitrise de l’eau mais surtout la possibilité de cultiver toute l’année. Autant de facteurs qui ont poussé les hommes à réussir, cette année, une deuxième cam- pagne agricole pour le maïs et le Gombo en contre saison.
Du côté des quelques 800 femmes bénéfi- ciaires, elles sont constituées en groupe- ments d’intérêt économique et cultivent pendant toute l’année des produits variés comme le Gombo, la carotte, la pommes de terres, la pastèque, le choux, et le riz. Des productions record enregistrées cette année qui les amènent à faire le tour des marchés hebdomadaires des villages envi- ronnants comme Semmé, Sinthiou Ba- mambe, Aouré, Waounde, Bokiladji en vue de les écouler pour espérer investir dans d’autres activités génératrices de revenus. Selon leur présidente, Mbara Ba, les femmes de Wendou Bosseabé subviennent à leurs besoins et elles ne font que remer- cier leur bienfaiteur et ami du Président
Macky Sall. D’après Vera Songwe, ce projet de Wendou Bosseabé constitue un modèle de développement économique. «Le Pôle de développement économique en construction a de beaux jours avec Ha- rouna Dia», dira-t-elle. Non sans annoncer un appui de la Banque mondiale aux
femmes de la localité afin d’agrandir leur exploitation. Les témoignages en disent long sur le fait que les jeunes de Wendou Bosseabé et environs ne veulent plus émi- grer et préfèrent gagner leur vie dans ces périmètres de leur «bienfaiteur».