Hier, les députés ont plaidé pour la hausse du budget du département, afin qu’il puisse répondre aux défis de la jeunesse et surtout aux enjeux actuels, avec le phénomène de l’émigration irrégulière qui est en train de briser la vie de beaucoup de familles et menace l’avenir du pays.
Dans le même temps, les parlementaires demandent le durcissement des mesures répressives, notamment à l’encontre des passeurs, afin de décourager toute velléité d’embarcation des jeunes.
Ensuite, ils ont pris la défense du ministère qui, devant ce fléau et sa particularité à toucher la jeunesse qui est sa cible, disent-ils, est mis en cause à tort. Ils en veulent pour preuve le fait qu’il ne dispose pas de ressources suffisantes pour répondre efficacement à tous les problèmes auxquels sont confrontés ces jeunes.
Ils considèrent, donc, que ce département ne peut appuyer, de manière significative, les jeunes et les convaincre de rester au pays, alors que ses ressources sont très limitées.
En commission et en plénière, les députés ont insisté sur l’urgence de mettre en place des politiques publiques efficaces pour freiner l’enrôlement des jeunes par des groupuscules extrémistes. Sur ce, ils ont recommandé le recours aux ressources financières destinées à la jeunesse africaine par la CEDEAO, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Avec enquêteplus.com
Dans le même temps, les parlementaires demandent le durcissement des mesures répressives, notamment à l’encontre des passeurs, afin de décourager toute velléité d’embarcation des jeunes.
Ensuite, ils ont pris la défense du ministère qui, devant ce fléau et sa particularité à toucher la jeunesse qui est sa cible, disent-ils, est mis en cause à tort. Ils en veulent pour preuve le fait qu’il ne dispose pas de ressources suffisantes pour répondre efficacement à tous les problèmes auxquels sont confrontés ces jeunes.
Ils considèrent, donc, que ce département ne peut appuyer, de manière significative, les jeunes et les convaincre de rester au pays, alors que ses ressources sont très limitées.
En commission et en plénière, les députés ont insisté sur l’urgence de mettre en place des politiques publiques efficaces pour freiner l’enrôlement des jeunes par des groupuscules extrémistes. Sur ce, ils ont recommandé le recours aux ressources financières destinées à la jeunesse africaine par la CEDEAO, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Avec enquêteplus.com