« C’est trop dur...Dans les prisons en Lybie, tu ne manges qu'une seule fois dans la journée. Dès que tu te couches à 19 heures, les gardes pénitentiaires viennent te frapper à chaque instant...», a dénoncé El Hadji Aly Savané, un des rapatriés avant d’ajouter qu'«il y a deux (2) camps en Lybie, celui des bandits appelés les «Asma Boys», s’ils t’attrapent, ils vont appeler ta famille pour demander une rançon».
Parmi ces 171 Sénégalais rapatriés, une bonne partie était des otages. Selon certains d’entre eux,, 500 000 FCFA était le prix à payer pour pouvoir retrouver la liberté.
Par la même occasion, le Directeur général des Sénégalais de l’Extérieur a annoncé des projets pour leur réinsertion sociale.
«Comme tout rapatrié de manière volontaire, avec tous les organismes de l’Etat sénégalais, on met un dispositif de réintégration économique et sociale pour leur offrir de la perspective parce que si nous ne prenons garde, ils vont encore reprendre la route migratoire», a soutenu Sori Kaba, qui a annoncé qu’une autre vague de 180 Sénégalais qui est attendue le 6 Juin.
Parmi ces 171 Sénégalais rapatriés, une bonne partie était des otages. Selon certains d’entre eux,, 500 000 FCFA était le prix à payer pour pouvoir retrouver la liberté.
Par la même occasion, le Directeur général des Sénégalais de l’Extérieur a annoncé des projets pour leur réinsertion sociale.
«Comme tout rapatrié de manière volontaire, avec tous les organismes de l’Etat sénégalais, on met un dispositif de réintégration économique et sociale pour leur offrir de la perspective parce que si nous ne prenons garde, ils vont encore reprendre la route migratoire», a soutenu Sori Kaba, qui a annoncé qu’une autre vague de 180 Sénégalais qui est attendue le 6 Juin.