Les larmes coulaient sur le visage de Blessing (surnom) pendant qu’elle racontait comment sa romance avec un travailleur irlandais évoluant dans le BTP à Lagos, a pris fin après avoir été infectée du VIH, par ce dernier.
Pour Blessing, sa douleur était immense non seulement parce qu’elle est infectée par le virus, mais surtout que l’homme, qu’elle appelle Jim Turner, ait intensifié ses rapports sexuels avec elle, après avoir appris son statut, il y a plus de deux ans.
Elle a déclaré qu’elle a même porté plainte contre l’Irlandais à la police, parce qu’elle voulait qu’il soit arrêté pour son mauvais geste.
A en croire Blessing, ils vivaient ensemble jusqu’à ce qu’elle décide d’enquêter sur les médicaments que l'Irlandais prenait quotidiennement et a découvert que c’était en fait des antirétroviraux.
Racontant son idylle, elle a dit:
Pour Blessing, sa douleur était immense non seulement parce qu’elle est infectée par le virus, mais surtout que l’homme, qu’elle appelle Jim Turner, ait intensifié ses rapports sexuels avec elle, après avoir appris son statut, il y a plus de deux ans.
Elle a déclaré qu’elle a même porté plainte contre l’Irlandais à la police, parce qu’elle voulait qu’il soit arrêté pour son mauvais geste.
A en croire Blessing, ils vivaient ensemble jusqu’à ce qu’elle décide d’enquêter sur les médicaments que l'Irlandais prenait quotidiennement et a découvert que c’était en fait des antirétroviraux.
Racontant son idylle, elle a dit:
''J’ai rencontré James Turner il y a huit ans. Il m’a demandé d’aménager avec lui à son appartement. J’ai commencé à vivre avec lui. Nous vivions comme mari et femme. J’ai remarqué plus tard qu’il tombait malade.
Je l’ai même suivi à l’hôpital. Il se plaignait de chaleur interne et il transpirait abondamment. L’hôpital lui a fait subir des tests médicaux. Je n’étais pas au courant des résultats et il ne m’a pas permis d’entendre ce que le docteur a dit.
Eh bien, j’ai découvert plus tard qu’il prenait un type particulier de médicament et son état ne s’améliorait pas. J’ai tapé sur ‘google’ le nom du médicament et j’ai découvert que c’était pour les patients de VIH. J’ai été choqué par la découverte.
Je l’ai abordé sur le sujet mais il a nié qu’il est séropositif. Il m’a dit que le médicament était pour la plaie sur sa jambe. Je n’étais pas convaincue de la réponse. Je lui ai dit que si je dois le croire, il doit me donner le numéro de téléphone du médecin, mais il a refusé.
Alors qu’il dormait, j’ai fouillé son téléphone et j’ai vu le numéro du médecin. Je l’ai appelé et il m’a dit que je devrais venir à l’hôpital. Quand je suis allé à l’hôpital, le médecin m’a dit que mon petit ami est séropositif.
Mon monde s’est émietté, je suis tombée et j’ai commencé à pleurer. Je regrettais d’avoir rencontré cet homme. Le médecin a conseillé que je devrais faire mon premier test pour connaître mon état de santé avant de me plaindre et que je ne pourrais pas être infectée. J’ai fait le test et c’était positif.
Le médecin a pris mon échantillon de sang, l’a envoyé dans un autre hôpital pour un test de confirmation et le résultat a été positif, même si je n’avais aucun symptôme.
Eh bien, pour tuer la colère et l’ennui, j’ai suivi certains de mes amis à une fête. Il a continué à m’appeler pour me demander si je rentrerais à la maison, j’ai suspecté quelque chose et je lui ai menti en affirmant que je ne rentrerais pas ce soir-là . J’ai été choquée quand je suis arrivée à la maison, et que je l’ai surpris entrain de coucher avec une très bonne amie à moi."
Je l’ai même suivi à l’hôpital. Il se plaignait de chaleur interne et il transpirait abondamment. L’hôpital lui a fait subir des tests médicaux. Je n’étais pas au courant des résultats et il ne m’a pas permis d’entendre ce que le docteur a dit.
Eh bien, j’ai découvert plus tard qu’il prenait un type particulier de médicament et son état ne s’améliorait pas. J’ai tapé sur ‘google’ le nom du médicament et j’ai découvert que c’était pour les patients de VIH. J’ai été choqué par la découverte.
Je l’ai abordé sur le sujet mais il a nié qu’il est séropositif. Il m’a dit que le médicament était pour la plaie sur sa jambe. Je n’étais pas convaincue de la réponse. Je lui ai dit que si je dois le croire, il doit me donner le numéro de téléphone du médecin, mais il a refusé.
Alors qu’il dormait, j’ai fouillé son téléphone et j’ai vu le numéro du médecin. Je l’ai appelé et il m’a dit que je devrais venir à l’hôpital. Quand je suis allé à l’hôpital, le médecin m’a dit que mon petit ami est séropositif.
Mon monde s’est émietté, je suis tombée et j’ai commencé à pleurer. Je regrettais d’avoir rencontré cet homme. Le médecin a conseillé que je devrais faire mon premier test pour connaître mon état de santé avant de me plaindre et que je ne pourrais pas être infectée. J’ai fait le test et c’était positif.
Le médecin a pris mon échantillon de sang, l’a envoyé dans un autre hôpital pour un test de confirmation et le résultat a été positif, même si je n’avais aucun symptôme.
Eh bien, pour tuer la colère et l’ennui, j’ai suivi certains de mes amis à une fête. Il a continué à m’appeler pour me demander si je rentrerais à la maison, j’ai suspecté quelque chose et je lui ai menti en affirmant que je ne rentrerais pas ce soir-là . J’ai été choquée quand je suis arrivée à la maison, et que je l’ai surpris entrain de coucher avec une très bonne amie à moi."
Aux dernières nouvelles, il a avoué avoir infecté 6 autres filles et a fait rapatrier sa femme au pays pour éviter de la contaminer.
AFRK. M. FELICIAE
AFRK. M. FELICIAE