Difficile de faire respecter les mesures-barrières pour la lutte contre le coronavirus au Sénégal, lors de la campagne pour les élections locales et territoriales. Un moment de rencontres qui ont drainé beaucoup de monde au sein de plusieurs localités du Sénégal.
Il en a été de même le jour du scrutin hier, dimanche 23 janvier 2022, où le matin et en fin de journée vers 18h, l’heure officielle de la fermeture des bureaux de vote, il y avait encore affluence dans certains centres où le vote a été prolongé. Si au début des votes dans le quartier de Dakar Sacré-Cœur, on a noté la présence de gels hydro-alcooliques, ce dispositif a très vite cédé sa place au vide. Seule le masque est resté de rigueur, du début jusqu’à la fin du déroulé du vote. La distanciation physique, quant à elle, était difficile à faire respecter .
Selon Daouda Sèye qui a voté dans la commune des HLM, à l’école Lion, la prévention est d’abord une affaire personnelle, avant que l’Etat s’y mette. «Je suis du troisième âge ; j’ai voté très tôt pour éviter la foule. C’est une manière aussi de me protéger du coronavirus. Il est très difficile de se protéger dans cette situation de vote, mais il faut s’y conformer», a-t-il laissé entendre. Dans plusieurs lieux de vote, les mandataires ont fait des va-et-vient.
Des poignées de mains se donnaient à tout-va, sans le respect des mesures-barrières dont l’application de gels hydroalcooliques ou encore le lavage des mains. Une situation qui pourrait aussi être un facteur déclencheur/propagateur de la Covid-19, qui connaît une légère baisse ces dernières périodes.Rapporte Vipeoples .
Il en a été de même le jour du scrutin hier, dimanche 23 janvier 2022, où le matin et en fin de journée vers 18h, l’heure officielle de la fermeture des bureaux de vote, il y avait encore affluence dans certains centres où le vote a été prolongé. Si au début des votes dans le quartier de Dakar Sacré-Cœur, on a noté la présence de gels hydro-alcooliques, ce dispositif a très vite cédé sa place au vide. Seule le masque est resté de rigueur, du début jusqu’à la fin du déroulé du vote. La distanciation physique, quant à elle, était difficile à faire respecter .
Selon Daouda Sèye qui a voté dans la commune des HLM, à l’école Lion, la prévention est d’abord une affaire personnelle, avant que l’Etat s’y mette. «Je suis du troisième âge ; j’ai voté très tôt pour éviter la foule. C’est une manière aussi de me protéger du coronavirus. Il est très difficile de se protéger dans cette situation de vote, mais il faut s’y conformer», a-t-il laissé entendre. Dans plusieurs lieux de vote, les mandataires ont fait des va-et-vient.
Des poignées de mains se donnaient à tout-va, sans le respect des mesures-barrières dont l’application de gels hydroalcooliques ou encore le lavage des mains. Une situation qui pourrait aussi être un facteur déclencheur/propagateur de la Covid-19, qui connaît une légère baisse ces dernières périodes.Rapporte Vipeoples .