Le président sortant José Mario Vaz est enfin sorti de son silence après sa défaite au premier tour pour annoncer publiquement son soutien à Umaro Sissoco Embalo au second tour le 29 décembre. « Nous décidons de soutenir la candidature du Général Umaro Sissoco Embalo et nous allons le faire », a déclaré José Mario Vaz.
Umaro Sissoco Embalo a déjà obtenu le ralliement des principaux ténors, notamment de l’ex-Premier ministre, Carlos Domingos Gomes, recalé au premier tour avec un peu plus de 2% et Nuno Gomes Nabiam (3e avec plus de 13% des voix).
Ce dernier, également appuyé par le parti de la Rénovation sociale, avait signé l’accord politique à Dakar en début semaine dernière. « Notre parti va soutenir massivement le candidat Umaro Sissoco Embalo pour apporter un changement en Guinée-Bissau », a annoncé Alberto Nambeia, président du PRS.
Seul bémol dans ce ralliement en cascade des poids lourds politiques, c’est le refus des cinq vice-présidents et du secrétaire national de l’Alliance populaire uni (APU) de suivre leur leader, alléguant que M. Nabiam n’avait pas informé l’organe supérieur du parti avant de prendre la décision.
Seul contre tous, le leader du parti historique PAIGC Domingos Simoes Pereira va quant à lui compter au second tour sur les soutiens de deux candidats malheureux au premier tour et chefs de petites formations politiques. Notamment Yaya Djalo du parti pour la Nouvelle démocratie et Idrissa Djalo leader du parti pour l’Unité nationale. La campagne pour le second tour commence le 13 décembre pour s'achever le 27 au soir.
RFI
Umaro Sissoco Embalo a déjà obtenu le ralliement des principaux ténors, notamment de l’ex-Premier ministre, Carlos Domingos Gomes, recalé au premier tour avec un peu plus de 2% et Nuno Gomes Nabiam (3e avec plus de 13% des voix).
Ce dernier, également appuyé par le parti de la Rénovation sociale, avait signé l’accord politique à Dakar en début semaine dernière. « Notre parti va soutenir massivement le candidat Umaro Sissoco Embalo pour apporter un changement en Guinée-Bissau », a annoncé Alberto Nambeia, président du PRS.
Seul bémol dans ce ralliement en cascade des poids lourds politiques, c’est le refus des cinq vice-présidents et du secrétaire national de l’Alliance populaire uni (APU) de suivre leur leader, alléguant que M. Nabiam n’avait pas informé l’organe supérieur du parti avant de prendre la décision.
Seul contre tous, le leader du parti historique PAIGC Domingos Simoes Pereira va quant à lui compter au second tour sur les soutiens de deux candidats malheureux au premier tour et chefs de petites formations politiques. Notamment Yaya Djalo du parti pour la Nouvelle démocratie et Idrissa Djalo leader du parti pour l’Unité nationale. La campagne pour le second tour commence le 13 décembre pour s'achever le 27 au soir.
RFI