Le Mouvement des élèves et étudiants républicains (Meer) et la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer), étaient plutôt occupés à se bagarrer entre eux. Moussa Sow, Coordonnateur national de la Cojer a dû être exfiltré et enfermé dans une salle, pour faire baisser la tension.
Tout allait bien jusqu’à 16h 55. Avant le début du grabuge, des jeunes, femmes, une avec un bébé dans le dos, et des hommes, prenaient d’assaut les lieux. C’est le désordre total à l’arrivée d’un groupe de jeunes malodorants. Certains parviennent à peine à tenir sur leurs jambes. Ils bousculent tout sur leur passage. Le pupitre qui était déjà installé, ne sera plus qu’un vieux souvenir.
Une journaliste d’Iradio et Itv malmenée et insultée
Dans ce désordre, mêmes les journalistes ne seront pas épargnés. La preuve : une reporter d’iRadio et iTv sera brutalisée et insultée par un vigile. La scène s’est produite devant la porte de la salle où se trouvait Moussa Sow. La jeune reporter qui avait la main coincée, a interpellé le garde du corps mais elle n’a récolté en retour que des insultes. Elle a renvoyé l’insulte, avant de recevoir un coup de cravache.
La médiation de Mame Bounama Sall
Après que la violence a éclaté, Mame Bounama Sall, qui n’était pas du tout content, a tenté de jouer la médiation pour calmer les ardeurs. Il a été aperçu en aparté avec Moussa Sow. Sa tentative sera vaine puisque la tension restera vive.
Effrayée, une militante qui s’était présentée sur les lieux, en compagnie de son enfant, tente de prendre la fuite. Elle demandera aux vigiles de lui ouvrir le portail pour qu’elle puisse vider les lieux, son bébé dans ses bras. «Tu es une peureuse. Il ne t’arrivera rien, ici. Ne t’inquiète pas, reviens t’asseoir. J’ai l’habitude de venir ici», la rabrouera une de ses accompagnantes. La jeune maman cédera.
Un voleur lynché
Les voleurs ont profité de l’ambiance pour s’en donner à cœur joie. L’un d’eux sera pris la main dans le sac. Des jeunes se lanceront à ses trousses, la rattrapant dans le jardin sis au siège de l’Apr.
Le jeune homme passera un sale quart d’heure, avant qu’on ne lui confisque sa machette et lui retire son sac qui serait rempli de portables. «C’est bien. On ne doit pas laisser faire les voleurs. Ils nous causent beaucoup de torts», acquiesce-t-on dans l’assistance formée par des badauds, qui ne voulaient rien rater de la scène
Tout allait bien jusqu’à 16h 55. Avant le début du grabuge, des jeunes, femmes, une avec un bébé dans le dos, et des hommes, prenaient d’assaut les lieux. C’est le désordre total à l’arrivée d’un groupe de jeunes malodorants. Certains parviennent à peine à tenir sur leurs jambes. Ils bousculent tout sur leur passage. Le pupitre qui était déjà installé, ne sera plus qu’un vieux souvenir.
Une journaliste d’Iradio et Itv malmenée et insultée
Dans ce désordre, mêmes les journalistes ne seront pas épargnés. La preuve : une reporter d’iRadio et iTv sera brutalisée et insultée par un vigile. La scène s’est produite devant la porte de la salle où se trouvait Moussa Sow. La jeune reporter qui avait la main coincée, a interpellé le garde du corps mais elle n’a récolté en retour que des insultes. Elle a renvoyé l’insulte, avant de recevoir un coup de cravache.
La médiation de Mame Bounama Sall
Après que la violence a éclaté, Mame Bounama Sall, qui n’était pas du tout content, a tenté de jouer la médiation pour calmer les ardeurs. Il a été aperçu en aparté avec Moussa Sow. Sa tentative sera vaine puisque la tension restera vive.
Effrayée, une militante qui s’était présentée sur les lieux, en compagnie de son enfant, tente de prendre la fuite. Elle demandera aux vigiles de lui ouvrir le portail pour qu’elle puisse vider les lieux, son bébé dans ses bras. «Tu es une peureuse. Il ne t’arrivera rien, ici. Ne t’inquiète pas, reviens t’asseoir. J’ai l’habitude de venir ici», la rabrouera une de ses accompagnantes. La jeune maman cédera.
Un voleur lynché
Les voleurs ont profité de l’ambiance pour s’en donner à cœur joie. L’un d’eux sera pris la main dans le sac. Des jeunes se lanceront à ses trousses, la rattrapant dans le jardin sis au siège de l’Apr.
Le jeune homme passera un sale quart d’heure, avant qu’on ne lui confisque sa machette et lui retire son sac qui serait rempli de portables. «C’est bien. On ne doit pas laisser faire les voleurs. Ils nous causent beaucoup de torts», acquiesce-t-on dans l’assistance formée par des badauds, qui ne voulaient rien rater de la scène