Six pickups up remplis d’éléments de la gendarmerie, de grosses pierres par terre, des troncs d’arbre et des pneus incendiés, tel est le décor après les échauffourées qui ont opposé les forces de l’ordre aux populations d’Ouest Foire. Ces dernières protestaient contre l’érection d’une station-service dans la place publique de leur quartier.
Ce bras de fer qui remonte à 2014, selon Khalifa Ababacar Diouf, un des membres du collectif. Il précise que les papiers dont dispose le promoteur prêtent à équivoques.
« L’autorisation, qu’a le promoteur, est caduque. Dans son article 4, l’autorisation dit : qu’au-delà de deux ans, lorsque le promoteur n’entame aucun investissement sur le terrain, l’autorisation est annulée », soutient khalifa Ababacar diouf.
Pour les populations d’Ouest Foires, les autorités d’alors de la ville de Dakar avaient interdit toute construction sur la zone.
Pour préserver la santé de leur famille, les populations d’Ouest Foire se disent déterminer à mener le combat pour barrer la route au promoteur.
Cependant, sur le site, les ouvriers s’activent toujours sur l’œil vigilant de la gendarmerie.
Ce bras de fer qui remonte à 2014, selon Khalifa Ababacar Diouf, un des membres du collectif. Il précise que les papiers dont dispose le promoteur prêtent à équivoques.
« L’autorisation, qu’a le promoteur, est caduque. Dans son article 4, l’autorisation dit : qu’au-delà de deux ans, lorsque le promoteur n’entame aucun investissement sur le terrain, l’autorisation est annulée », soutient khalifa Ababacar diouf.
Pour les populations d’Ouest Foires, les autorités d’alors de la ville de Dakar avaient interdit toute construction sur la zone.
Pour préserver la santé de leur famille, les populations d’Ouest Foire se disent déterminer à mener le combat pour barrer la route au promoteur.
Cependant, sur le site, les ouvriers s’activent toujours sur l’œil vigilant de la gendarmerie.
