La commune de Goudiry (région de Tamba) est secouée par une histoire de suicide qui a pour soubassement une scène de jalousie entre un époux et son épouse. Un drame qui a disloqué à jamais ce couple vieux de 15 ans, avec à la clé trois enfants. A l’origine de la scène qui a motivé le suicide, une histoire de conversation téléphonique entre la dame Ramata Ba et «un autre homme».
Un coup de fil qui n’a pas été du goût du mari, Yoro. L’insulte et les menaces à la bouche, le mari jaloux sermonne sa femme qu’il accuse d’infidélité. Il s’en est suivi une vive dispute qui a éclaté dans leur chambre conjugale, en présence de leurs enfants.
Au cours de cette dispute, l’épouse Ramata Ba, excédée par les récriminations de son mari, menace alors de se suicider pour mettre fin à ce «procès» affligeant. Ne prenant pas au sérieux cette menace de son épouse, le mari qui avait la colère en travers la gorge, prend congé des lieux, laissant sa femme et ses enfants dans la chambre. Après s’être calmé, l’époux est revenu sur ses pas et constate l’absence de son épouse, partie on ne sait où, laissant seuls les enfants dans la chambre. Il entreprend des recherches et réalise que sa dame n’était pas dans la maison.
Il interpelle les voisins qui ignoraient la position de Ramata. Pour y voir clair, le mari fait appel à trois de ses amis pour aller à la recherche de sa dame. En cours de recherche, ils vont tomber sur la silhouette de Ramata, pendue à un arbre, à quelques encablures du pont reliant la piste latéritique de Goudiry au village de Koussan.
Pris de panique, Yoro accourt pour tenter de sauver son épouse qui, agonisante, se débattait pour se défaire du nœud de la corde nouée au tour de son cou. Assisté de ses amis, le mari est monté sur l’arbre pour dénouer la corde attachée à une branche. Malheureusement, sa dame va trépasser avant l’arrivée des secours.
Informés, les éléments de la Brigade de gendarmerie de Goudiry, le médecin-chef du district sanitaire de la localité et de l’adjoint au préfet rallient la scène du drame. Ainsi, au terme des constatations d’usage, le corps sans vie de la défunte a été acheminé à la morgue du district sanitaire de Goudiry. Une enquête est déjà ouverte pour lever toutes équivoques dans ce drame.
senenews.com
Un coup de fil qui n’a pas été du goût du mari, Yoro. L’insulte et les menaces à la bouche, le mari jaloux sermonne sa femme qu’il accuse d’infidélité. Il s’en est suivi une vive dispute qui a éclaté dans leur chambre conjugale, en présence de leurs enfants.
Au cours de cette dispute, l’épouse Ramata Ba, excédée par les récriminations de son mari, menace alors de se suicider pour mettre fin à ce «procès» affligeant. Ne prenant pas au sérieux cette menace de son épouse, le mari qui avait la colère en travers la gorge, prend congé des lieux, laissant sa femme et ses enfants dans la chambre. Après s’être calmé, l’époux est revenu sur ses pas et constate l’absence de son épouse, partie on ne sait où, laissant seuls les enfants dans la chambre. Il entreprend des recherches et réalise que sa dame n’était pas dans la maison.
Il interpelle les voisins qui ignoraient la position de Ramata. Pour y voir clair, le mari fait appel à trois de ses amis pour aller à la recherche de sa dame. En cours de recherche, ils vont tomber sur la silhouette de Ramata, pendue à un arbre, à quelques encablures du pont reliant la piste latéritique de Goudiry au village de Koussan.
Pris de panique, Yoro accourt pour tenter de sauver son épouse qui, agonisante, se débattait pour se défaire du nœud de la corde nouée au tour de son cou. Assisté de ses amis, le mari est monté sur l’arbre pour dénouer la corde attachée à une branche. Malheureusement, sa dame va trépasser avant l’arrivée des secours.
Informés, les éléments de la Brigade de gendarmerie de Goudiry, le médecin-chef du district sanitaire de la localité et de l’adjoint au préfet rallient la scène du drame. Ainsi, au terme des constatations d’usage, le corps sans vie de la défunte a été acheminé à la morgue du district sanitaire de Goudiry. Une enquête est déjà ouverte pour lever toutes équivoques dans ce drame.
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