Ses déboires judiciaires remontent au 30 décembre dernier, date à laquelle son disciple, D.S, la dizaine, a péri dans un violant incendie.
Après une année d'exercice, un de ses amis, un marabout établi à Touba, lui confie un disciple, passé maître dans l'art de la fugue, qu'il a en charge de "dresser". Pour s'y faire, le marabout a opté pour des mesures radicales. Lui enchaînant les pieds , il attache solidement le jeune fugueur à un grand piquet cimenté et le confine dans une pièce en dur, au toit en paille. Le "prisonnier" qui ne pouvait que se déplacer que sur une petite distance, "aurait séjourné dans sa cellule, 15 jours durant".
Le 30 décembre, peu avant 13 heures, le marabout Soumaré s'absente pour une course en ville. A son absence, un incendie se déclare dans la chambre où est retenu le jeune talibé. les flammes se propagent à la vitesse du son sur le toit en paille qui cède sur "le prisonnier", dans l'impossibilité de se sauver, retenu par ses chaîne. Il connaîtra une mort atroce, le corps littéralement calciné selon le journal l'Obs.
Informés, le Sous-préfet de Darou Mousty, les pandores et les sapeurs- pompiers de Touba rallient les lieux . le défunt a été inhumé avant-hier à Touba. le même jour, le maître coranique est déféré au parquet de Louga.
Après une année d'exercice, un de ses amis, un marabout établi à Touba, lui confie un disciple, passé maître dans l'art de la fugue, qu'il a en charge de "dresser". Pour s'y faire, le marabout a opté pour des mesures radicales. Lui enchaînant les pieds , il attache solidement le jeune fugueur à un grand piquet cimenté et le confine dans une pièce en dur, au toit en paille. Le "prisonnier" qui ne pouvait que se déplacer que sur une petite distance, "aurait séjourné dans sa cellule, 15 jours durant".
Le 30 décembre, peu avant 13 heures, le marabout Soumaré s'absente pour une course en ville. A son absence, un incendie se déclare dans la chambre où est retenu le jeune talibé. les flammes se propagent à la vitesse du son sur le toit en paille qui cède sur "le prisonnier", dans l'impossibilité de se sauver, retenu par ses chaîne. Il connaîtra une mort atroce, le corps littéralement calciné selon le journal l'Obs.
Informés, le Sous-préfet de Darou Mousty, les pandores et les sapeurs- pompiers de Touba rallient les lieux . le défunt a été inhumé avant-hier à Touba. le même jour, le maître coranique est déféré au parquet de Louga.