Les populations d’Arafat sont toujours sous le choc. Dans cette cité religieuse nichée au cœur de la commune de Missira Wadène et distante de 12 km de ladite localité, l’émotion et la tristesse sont les sentiments les mieux partagés. Ce, suite à la découverte macabre du corps sans vie d’une petite fille de deux ans et demi qui répondait du nom de M. Dramé, deux jours après sa disparition derrière une clôture servant de protection au compteur de la SDE.
Le mercredi dernier de retour d’un voyage, le grand-père paternel de la petite M. Dramé qui distribuait des bonbons aux enfants de la maison, constate l’absence de celle-ci parmi ses camarades. Après un moment de patience, le vieux Dramé qui tenait coûte que coûte à voir sa petite-fille pour lui remettre sa part des cadeaux ramenés, demande de ses nouvelles à ses parents. C’est ainsi que des recherches sont entamées en vain dans les coins et recoins du domicile familial jusque tard dans la nuit.
Le lendemain matin, les parents de la fillette qui gardaient l’espoir de retrouver leur enfant, avisent les pandores de la brigade de gendarmerie de Koungheul qui se déploient sur les lieux pour les besoins d’une enquête.
Au même moment, la famille Dramé accompagnée des voisins se déplace dans les villages environnants.
Aux environs de 20 heures alors que le chauffeur de Babacar Dramé, père de la défunte fille tentait de garer le véhicule dans l’arrière-cour de la maison, son attention est vite attirée par une odeur nauséabonde qui s’échappait de la clôture servant de protection au compteur de la SDE.
Sans tarder, il se dirigea vers le trou, l’ouvre et tombe sur le corps sans vie de la petite.
Décédée dans ce trou depuis deux jours, la petite M. Dramé avait le corps en état très avancé de putréfaction. Elle était retrouvée coincée dans le compteur de la SDE, la nuque cassée. Alertés par les cris stridents du chauffeur, les membres de la famille prennent l’assaut du lieu du drame.
Après avoir avisé les sapeurs-pompiers et les pandores de la localité qui ont procédé à aux constats d’usage et l’ouverture d’une enquête, le corps sans vie est acheminé vers la morgue du district sanitaire de Koungheul, avant d’être remis à ses parents aux fins d’inhumation.
Observateur
Le mercredi dernier de retour d’un voyage, le grand-père paternel de la petite M. Dramé qui distribuait des bonbons aux enfants de la maison, constate l’absence de celle-ci parmi ses camarades. Après un moment de patience, le vieux Dramé qui tenait coûte que coûte à voir sa petite-fille pour lui remettre sa part des cadeaux ramenés, demande de ses nouvelles à ses parents. C’est ainsi que des recherches sont entamées en vain dans les coins et recoins du domicile familial jusque tard dans la nuit.
Le lendemain matin, les parents de la fillette qui gardaient l’espoir de retrouver leur enfant, avisent les pandores de la brigade de gendarmerie de Koungheul qui se déploient sur les lieux pour les besoins d’une enquête.
Au même moment, la famille Dramé accompagnée des voisins se déplace dans les villages environnants.
Aux environs de 20 heures alors que le chauffeur de Babacar Dramé, père de la défunte fille tentait de garer le véhicule dans l’arrière-cour de la maison, son attention est vite attirée par une odeur nauséabonde qui s’échappait de la clôture servant de protection au compteur de la SDE.
Sans tarder, il se dirigea vers le trou, l’ouvre et tombe sur le corps sans vie de la petite.
Décédée dans ce trou depuis deux jours, la petite M. Dramé avait le corps en état très avancé de putréfaction. Elle était retrouvée coincée dans le compteur de la SDE, la nuque cassée. Alertés par les cris stridents du chauffeur, les membres de la famille prennent l’assaut du lieu du drame.
Après avoir avisé les sapeurs-pompiers et les pandores de la localité qui ont procédé à aux constats d’usage et l’ouverture d’une enquête, le corps sans vie est acheminé vers la morgue du district sanitaire de Koungheul, avant d’être remis à ses parents aux fins d’inhumation.
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