C’est dans ce sillage que la directrice générale de l'Agence nationale de l'aquaculture, Dr Tening Sène, a souligné que l’aquaculture est inévitable et reste une alternative car, cette pratique, en termes de protéine, apporte 52%, plus de 60% dans les prochaines années.
Ce qui fait dire au Dr Tening Sène que dans les années précédentes, 5000 pirogues ont été répertoriées et aujourd'hui, elles sont plus de 30.000. C’est dans cette optique qu’un programme spécialement prévu pour les acteurs de la pêche est en cours dont l'objectif global est de produire 4000 tonnes et créer 5000 emplois.
En effet, lors d’un atelier de sensibilisation pour l’appropriation du projet pôles aquacoles de Fatick dans le cadre du Projet de gestion des ressources naturelles (Pgrn), la directrice générale de l'Agence nationale de l'aquaculture a expliqué que ledit projet a été financé par la Banque mondiale pour le compte de l’État du Sénégal à travers le ministère de l’Environnement et du développement durable et le ministère de la Pêche et de l’économie maritime, dans le cadre de la gestion ou de la régénération des ressources naturelles.
Un programme de plus de 100 milliards, soit 50 par département ministériel. Dans ledit programme, il y a une composante aquaculture d’un montant de 5,5 milliards qui est exécuté par l’Agence et qui doit être mis en place dans huit régions du Sénégal dont la région de Fatick.
Dans cette région, explique Dr Tening Sène, c’est Ndiené Lagane, parmi les deux sites, qui doit faire bientôt l’objet de réalisation.
«C’est une série d’atelier qui va se tenir dans toutes les régions d’intervention du projet. Nous avons démarré par la commune de Ndiené Lagane qui bénéficie d'un projet d'un montant de 280 millions qui permettra la réalisation de 260 emplois directs et indirects, mais pour la production de plus de 200 tonnes de produits halieutiques», a-t-elle souligné.
Les autorités administratives et locales ainsi que la population se sont réjouies de ce projet qui va permettre la disponibilité de poissons frais dans la commune, mais qui sera aussi une source de création d'emplois pour les jeunes qui pourront travailler dans le Pôle, et les femmes pour la transformation et la commercialisation.
Il est à noter que le pôle va aussi abriter un centre de formation pour les jeunes et va construire un bassin de lagunage des eaux usées qui pourront servir au maraîchage. Ce qui va sans doute réduire le taux de jeunes qui empruntent la mer au péril de leur vie.
Tribune
Ce qui fait dire au Dr Tening Sène que dans les années précédentes, 5000 pirogues ont été répertoriées et aujourd'hui, elles sont plus de 30.000. C’est dans cette optique qu’un programme spécialement prévu pour les acteurs de la pêche est en cours dont l'objectif global est de produire 4000 tonnes et créer 5000 emplois.
En effet, lors d’un atelier de sensibilisation pour l’appropriation du projet pôles aquacoles de Fatick dans le cadre du Projet de gestion des ressources naturelles (Pgrn), la directrice générale de l'Agence nationale de l'aquaculture a expliqué que ledit projet a été financé par la Banque mondiale pour le compte de l’État du Sénégal à travers le ministère de l’Environnement et du développement durable et le ministère de la Pêche et de l’économie maritime, dans le cadre de la gestion ou de la régénération des ressources naturelles.
Un programme de plus de 100 milliards, soit 50 par département ministériel. Dans ledit programme, il y a une composante aquaculture d’un montant de 5,5 milliards qui est exécuté par l’Agence et qui doit être mis en place dans huit régions du Sénégal dont la région de Fatick.
Dans cette région, explique Dr Tening Sène, c’est Ndiené Lagane, parmi les deux sites, qui doit faire bientôt l’objet de réalisation.
«C’est une série d’atelier qui va se tenir dans toutes les régions d’intervention du projet. Nous avons démarré par la commune de Ndiené Lagane qui bénéficie d'un projet d'un montant de 280 millions qui permettra la réalisation de 260 emplois directs et indirects, mais pour la production de plus de 200 tonnes de produits halieutiques», a-t-elle souligné.
Les autorités administratives et locales ainsi que la population se sont réjouies de ce projet qui va permettre la disponibilité de poissons frais dans la commune, mais qui sera aussi une source de création d'emplois pour les jeunes qui pourront travailler dans le Pôle, et les femmes pour la transformation et la commercialisation.
Il est à noter que le pôle va aussi abriter un centre de formation pour les jeunes et va construire un bassin de lagunage des eaux usées qui pourront servir au maraîchage. Ce qui va sans doute réduire le taux de jeunes qui empruntent la mer au péril de leur vie.
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