Au cours de cette opération, « la police canadienne a exercé sur la diplomate une violence physique et morale humiliante, devant témoins, et en présence de ses enfants mineurs », ajoute le document. Lequel relève que « malgré le rappel du statut de diplomate de la victime et de l’inviolabilité de son domicile, les éléments de la police canadienne l’ont menottée et sauvagement tabassée, au point qu’elle a eu du mal à respirer, ce qui a conduit à son évacuation par ambulance à l’hôpital ».
Alertée, la partie sénégalaise a « immédiatement » convoquée la chargée d’Affaires de l’Ambassade du Canada à Dakar pour « dénoncer vigoureusement et condamner fermement cet acte raciste et barbare ».
D’ailleurs, une note de protestation a été servie aux autorités canadiennes via l’Ambassade du Canada à Dakar et celle du Sénégal à Ottawa.
Le gouvernement du Sénégal exige qu’une enquête soit diligentée « sans délai » et que « des poursuites soient menées contre les auteurs de « cette agression inadmissible » qui constitue « une grave atteinte » à l’intégrité physique de la personne et de la dignité humaine, mais également « une violation flagrante » de la convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques.
Alertée, la partie sénégalaise a « immédiatement » convoquée la chargée d’Affaires de l’Ambassade du Canada à Dakar pour « dénoncer vigoureusement et condamner fermement cet acte raciste et barbare ».
D’ailleurs, une note de protestation a été servie aux autorités canadiennes via l’Ambassade du Canada à Dakar et celle du Sénégal à Ottawa.
Le gouvernement du Sénégal exige qu’une enquête soit diligentée « sans délai » et que « des poursuites soient menées contre les auteurs de « cette agression inadmissible » qui constitue « une grave atteinte » à l’intégrité physique de la personne et de la dignité humaine, mais également « une violation flagrante » de la convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques.