Faisant référence aux luttes qui ont mené son équipe au pouvoir, Diomaye a souligné l’importance de la cohésion gouvernementale tout en rappelant que la solidarité ne devait pas servir à couvrir des fautes individuelles :
« Un programme, ça se défend. Des actions, ça se vulgarisent. Un gouvernement, ça doit être solidaire, mais dans la vérité. » Le chef de l’État a également martelé que tout membre du gouvernement qui transgresserait les règles « en toute connaissance de cause » ne pourrait invoquer une quelconque solidarité gouvernementale pour échapper à ses responsabilités.
Une exigence de responsabilité collective et individuelle
Dans son intervention, le président a insisté sur l’obligation pour chaque membre du gouvernement d’assumer ses choix. « Nous devons avancer en étant conscients que tout écart mettra en danger l’ensemble de l’exécutif », a-t-il affirmé, appelant à une rigueur dans la gestion pour éviter que les erreurs passées ne se répètent.
Le président Bassirou Faye a également chargé le Premier ministre Ousmane Sonko de veiller à une mise en œuvre rigoureuse des missions confiées à l’équipe gouvernementale, afin de garantir des résultats optimaux : « Il est impératif de tirer le meilleur profit des tâches engagées », a-t-il précisé.
Réaction de la société civile
Le discours du président a suscité des réactions au sein de la société civile. Birahim Seck, une figure influente du secteur, s’est exprimé sur Twitter en ces termes : « Le récent discours du @PR_Diomaye sur la gouvernance semble faire écho à nos différentes alertes sur le système de gestion qui commençait à s’installer. Nous l’encourageons à veiller à l’application des mesures de transformation systémique recherchée en matière de transparence. »
Cette déclaration met en lumière les attentes de la société civile, qui appelle à des réformes profondes pour renforcer la transparence dans la gestion publique. Le président Diomaye Faye semble, par ses propos, avoir lancé un appel à une nouvelle dynamique de gouvernance, fondée sur l’intégrité et la responsabilité individuelle, condition essentielle au maintien de la confiance populaire.
« Un programme, ça se défend. Des actions, ça se vulgarisent. Un gouvernement, ça doit être solidaire, mais dans la vérité. » Le chef de l’État a également martelé que tout membre du gouvernement qui transgresserait les règles « en toute connaissance de cause » ne pourrait invoquer une quelconque solidarité gouvernementale pour échapper à ses responsabilités.
Une exigence de responsabilité collective et individuelle
Dans son intervention, le président a insisté sur l’obligation pour chaque membre du gouvernement d’assumer ses choix. « Nous devons avancer en étant conscients que tout écart mettra en danger l’ensemble de l’exécutif », a-t-il affirmé, appelant à une rigueur dans la gestion pour éviter que les erreurs passées ne se répètent.
Le président Bassirou Faye a également chargé le Premier ministre Ousmane Sonko de veiller à une mise en œuvre rigoureuse des missions confiées à l’équipe gouvernementale, afin de garantir des résultats optimaux : « Il est impératif de tirer le meilleur profit des tâches engagées », a-t-il précisé.
Réaction de la société civile
Le discours du président a suscité des réactions au sein de la société civile. Birahim Seck, une figure influente du secteur, s’est exprimé sur Twitter en ces termes : « Le récent discours du @PR_Diomaye sur la gouvernance semble faire écho à nos différentes alertes sur le système de gestion qui commençait à s’installer. Nous l’encourageons à veiller à l’application des mesures de transformation systémique recherchée en matière de transparence. »
Cette déclaration met en lumière les attentes de la société civile, qui appelle à des réformes profondes pour renforcer la transparence dans la gestion publique. Le président Diomaye Faye semble, par ses propos, avoir lancé un appel à une nouvelle dynamique de gouvernance, fondée sur l’intégrité et la responsabilité individuelle, condition essentielle au maintien de la confiance populaire.