« Il faudrait que les sectoriels travaillent en harmonie totale avec l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), un guichet unique de production de données », a soutenu le Premier ministre Mahammad Boun Abdalah Dionne, venu présider, la deuxième session du Conseil national de la statistique (Cns). Cette structure, dirigée par le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, est chargée de proposer au gouvernement les orientations générales de la politique statistique de la Nation, les priorités en matière de collecte, de traitement et de diffusion de l’information statistique, et les instruments de coordination des activités du Système statistique national. Selon le PM, sans cette collaboration avec l’Ansd, il n’y aura pas de statistiques fiables. « Sinon, c’est tous les jours que nous allons avoir des difficultés parce que dans le sectoriel on a produit des données parfois qui ne sont pas à niveau », dit-il indiquant que le Cns, qui ne s’est pas réuni depuis 2011, se fera désormais chaque année au mois d’avril.
Le Premier ministre a, par ailleurs, indiqué que le Sénégal veut des statistiques de qualité. « Les statistiques ont eu le soutien informationnel à l’élaboration et à l’évaluation des programmes du Pse, mais aussi du cadre macro économique des performances du secteur productif et des conditions de vie des populations. Des statistiques de qualité sont également obligatoires pour la production de données nécessaires au suivi des objectifs de l’agenda 2030 des Nations Unies et de 2063 de l’Union africaine », soutient-il avant d’ajouter que le Sénégal veut hisser les statistiques nationales au rang des standards internationales.
Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, a, pour sa part, indiqué que le budget nécessaire pour financer le plan pluriannuel est de « 96,943 milliards pour la période de 2014 à 2019 dont 35% de financement déjà acquis, soit 33,959 milliards. Ce financement acquis provient pour environ à 90,7% de l’Etat ».
Le Premier ministre a, par ailleurs, indiqué que le Sénégal veut des statistiques de qualité. « Les statistiques ont eu le soutien informationnel à l’élaboration et à l’évaluation des programmes du Pse, mais aussi du cadre macro économique des performances du secteur productif et des conditions de vie des populations. Des statistiques de qualité sont également obligatoires pour la production de données nécessaires au suivi des objectifs de l’agenda 2030 des Nations Unies et de 2063 de l’Union africaine », soutient-il avant d’ajouter que le Sénégal veut hisser les statistiques nationales au rang des standards internationales.
Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, a, pour sa part, indiqué que le budget nécessaire pour financer le plan pluriannuel est de « 96,943 milliards pour la période de 2014 à 2019 dont 35% de financement déjà acquis, soit 33,959 milliards. Ce financement acquis provient pour environ à 90,7% de l’Etat ».