Alors que le débat sur la criminalisation de l’homosexualité enfle et alimente les discussions dans les salons et autres grand-places, ce fléau va crescendo dans le pays et continue de gangréner quasiment toutes les couches sociales.
Au Sénégal, les déviants sexuels soutenus par de puissants lobbies aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur, multiplient les provocations et continuent de défrayer la chronique. Des mariages gays y sont souvent organisés, des lieux de culte souillés et la menace d’une jeunesse désorientée et pervertie de plus en plus accrue.
Le quartier de la cité Sipres de ZAC Mbao a abrité une affaire d’autant plus inquiétante qu’elle implique deux personnes mineures que la décence et la loi interdisent d’identifier formellement. Conformément donc aux dispositions réglementaires en vigueur, nous allons nous contenter de leurs seules initiales. Âgé seulement de 13 ans et natif de Dahra
Djolof, M. G, prétendument talibé de son état, a été surpris par un riverain en train de faire subir les derniers outrages à D. B, qui est son cadet de 5 ans. Et ce sont les cris stri- dents de la victime, âgée de 8 hivernages, qui ont alerté le sauveteur. Les deux jeunes garçons ont été mis à la disposition de l’AEMO (Action éducative en milieu ouvert judiciaire).
Il ressort des premiers éléments de l’enquête que le mis en cause aurait lui-même subi des actes contre nature de la part des responsables de son « daara ». Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur cette affaire, rapporte Le Témoin qui donne l’information. Rapporte Vipeoples .
Au Sénégal, les déviants sexuels soutenus par de puissants lobbies aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur, multiplient les provocations et continuent de défrayer la chronique. Des mariages gays y sont souvent organisés, des lieux de culte souillés et la menace d’une jeunesse désorientée et pervertie de plus en plus accrue.
Le quartier de la cité Sipres de ZAC Mbao a abrité une affaire d’autant plus inquiétante qu’elle implique deux personnes mineures que la décence et la loi interdisent d’identifier formellement. Conformément donc aux dispositions réglementaires en vigueur, nous allons nous contenter de leurs seules initiales. Âgé seulement de 13 ans et natif de Dahra
Djolof, M. G, prétendument talibé de son état, a été surpris par un riverain en train de faire subir les derniers outrages à D. B, qui est son cadet de 5 ans. Et ce sont les cris stri- dents de la victime, âgée de 8 hivernages, qui ont alerté le sauveteur. Les deux jeunes garçons ont été mis à la disposition de l’AEMO (Action éducative en milieu ouvert judiciaire).
Il ressort des premiers éléments de l’enquête que le mis en cause aurait lui-même subi des actes contre nature de la part des responsables de son « daara ». Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur cette affaire, rapporte Le Témoin qui donne l’information. Rapporte Vipeoples .