Victime d’escroquerie de la part de son meilleur ami d’enfance, Lamine Diagne, émigré en Italie depuis plusieurs années, digère mal cet acte. Voulant venir au Sénégal pour passer la Tabaski avec ses quatre enfants, il verse 2 100 000 FCfa au sieur Souleymane Guèye qui lui avait déclaré être gérant d’une agence de voyage.
L’argent envoyé depuis avril, le mis en cause lui envoie quatre billets. Devant voyager le 6 juillet à 10 heures, le sieur Guèye l’appelle et lui demande de patienter encore, car son vol est reprogrammé pour 22 heures à la même date. Ainsi, une fois à l’aéroport, il a été informé que les quatre billets étaient des faux.
Surpris, il appelle son ami qui verse dans le dilatoire sans pour autant lui fournir des explications convaincantes. Dépité, il rentre chez lui en trouvant d’autres moyens pour venir au Sénégal.
Une fois au bercail, la victime interpelle son ami qui l’envoie paitre. Atteinte, la victime porte plainte.
Face aux limiers, le mis en cause reconnaît les faits qui lui sont reprochés. « Je reconnais avoir tort sur toute la ligne, car au moment d’envoyer au sieur Lamine Diagne les billets d’avion, je savais que c’était des faux. J’avoue que j’ai tort et je demande pardon à la victime », s’est-il défendu, tout en demandant qu’on lui accorde un délai pour rembourser à la victime son argent. Ce qui n’a pas empêché son déferrement
L’argent envoyé depuis avril, le mis en cause lui envoie quatre billets. Devant voyager le 6 juillet à 10 heures, le sieur Guèye l’appelle et lui demande de patienter encore, car son vol est reprogrammé pour 22 heures à la même date. Ainsi, une fois à l’aéroport, il a été informé que les quatre billets étaient des faux.
Surpris, il appelle son ami qui verse dans le dilatoire sans pour autant lui fournir des explications convaincantes. Dépité, il rentre chez lui en trouvant d’autres moyens pour venir au Sénégal.
Une fois au bercail, la victime interpelle son ami qui l’envoie paitre. Atteinte, la victime porte plainte.
Face aux limiers, le mis en cause reconnaît les faits qui lui sont reprochés. « Je reconnais avoir tort sur toute la ligne, car au moment d’envoyer au sieur Lamine Diagne les billets d’avion, je savais que c’était des faux. J’avoue que j’ai tort et je demande pardon à la victime », s’est-il défendu, tout en demandant qu’on lui accorde un délai pour rembourser à la victime son argent. Ce qui n’a pas empêché son déferrement