De mal en pis. Les locataires du Sénégal l’avaient accueilli comme une bouffée d’air frais. Deux ans et huit mois après, certains trouvent que c’est source de conflits et de nombreuses tensions dans l’immobilier. La loi sur la baisse des loyers promulguée le 22 juillet 2014, gagnerait à bénéficier d’une nouvelle mise à jour.
Elle a créé une tension entre locataires et bailleurs et beaucoup la jugent comme une mesure mal adaptée, précipitée, bref comme un échec. Un lifting est souhaité par tous.
En attendant une nouvelle intervention des autorités, locataires et bailleurs s’accusent mutuellement d’enfreindre la loi. Le secrétaire général de l’Ascosen Momar Ndao affirme que les contrevenants à la loi sur la baisse des loyers s’exposent à des peines de 6 mois de prison et à 200 mille francs d’amende.
Source : l’observateur
Elle a créé une tension entre locataires et bailleurs et beaucoup la jugent comme une mesure mal adaptée, précipitée, bref comme un échec. Un lifting est souhaité par tous.
En attendant une nouvelle intervention des autorités, locataires et bailleurs s’accusent mutuellement d’enfreindre la loi. Le secrétaire général de l’Ascosen Momar Ndao affirme que les contrevenants à la loi sur la baisse des loyers s’exposent à des peines de 6 mois de prison et à 200 mille francs d’amende.
Source : l’observateur
