L'As révélait hier un détournement d’une somme estimée à près de huit cents millions Cfa à la Faculté des sciences juridiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad). Et nos confrères renseignaient que l’enquête diligentée par la Division des investigations criminelles (Dic) à la Faculté de droit de l’Ucad était sur une piste de près de huit cent millions. Les limiers ont pu constater avec exactitude un trou de 75 millions détournés : Mamadou Ndoye et Fatou Dia ont été arrêtés par la Police à la suite de l’enquête.
Le journal explique que le modus operandi consistait à encaisser les frais d’inscriptions des étudiants et de les reverser dans leurs poches. Une attitude assimilable à un détournement de deniers publics et qui exige des mis en cause, pour échapper à la prison, de cautionner l’équivalent de la somme détournée. Ainsi, après leur audition, les hommes du commissaire de Ibrahima Diop les ont déférés devant le procureur de la République : ce depuis avant hier. En réalité, dans cette affaire, c’est le doyen de la Faculté de droit qui a porté plainte contre X. L’enquête a permis de mettre le grappin sur les cerveaux et deux autres personnes dont l’implication n’a pas été justifiée matériellement. C’est pourquoi, diton, elles ont bénéficié d’une liberté en attendant que l’instruction ouverte par le juge ne détermine avec exactitude le degré d’implication des uns et des autres et éventuellement si les prévenus bénéficient de complicité au niveau du corps professoral. Une affaire sensible dans un contexte de méfiance entre les étudiants et les autorités.
Le journal explique que le modus operandi consistait à encaisser les frais d’inscriptions des étudiants et de les reverser dans leurs poches. Une attitude assimilable à un détournement de deniers publics et qui exige des mis en cause, pour échapper à la prison, de cautionner l’équivalent de la somme détournée. Ainsi, après leur audition, les hommes du commissaire de Ibrahima Diop les ont déférés devant le procureur de la République : ce depuis avant hier. En réalité, dans cette affaire, c’est le doyen de la Faculté de droit qui a porté plainte contre X. L’enquête a permis de mettre le grappin sur les cerveaux et deux autres personnes dont l’implication n’a pas été justifiée matériellement. C’est pourquoi, diton, elles ont bénéficié d’une liberté en attendant que l’instruction ouverte par le juge ne détermine avec exactitude le degré d’implication des uns et des autres et éventuellement si les prévenus bénéficient de complicité au niveau du corps professoral. Une affaire sensible dans un contexte de méfiance entre les étudiants et les autorités.