La vendeuse de fruits, A. D., traîne une grossesse de cinq mois et accuse le marchand ambulant, Matar S., d’en être l’auteur. Mais, le mis en cause a battu en brèche les accusations avant de charger la demoiselle. Il a été malgré tout interpellé et déféré au parquet, avant-hier, par la police de Sicap Mbao pour détournement de mineure, pédophilie, viol suivie de grossesse d’une fille de 15 ans.
A en croire Grand Place qui donne l'info, la demoiselle et le mis en cause se connaissent depuis longtemps et exercent le même métier de vendeur de fruits. Matar S. se découvre alors des affinités avec la petite et noue des relations conviviales avec elle. Quand il apprend que la gamine se nomme A.D., il lui réaffirme son attachement viscéral à sa personne et indique la considérer comme sa propre sœur. D’autant qu’il déclare que la gamine porte le même prénom que sa mère. Il lui offre tout le temps des cadeaux et se plie a ses quatre volontés. Mais, tout cela ne fut qu’une manière subtile pour le bonhomme de gagner la confiance de la fille pour mieux la ferrer ou appâter afin de l’entraîner dans son lit.
Un jour, vers 15h, Matar l’interpelle et lui demande d’aller lui chercher, dans sa chambre, non loin du coin, une corde avec laquelle il veut attacher son étal. La petite confie sa marchandise à une tierce personne et se rend, sans arrière-pensée, dans la pièce. Mais, à peine arrivée, elle est aussitôt rejointe à l’intérieur par le jeune garçon qui referme avec fracas la porte et propose une partie de partouze à l’adolescente. Il se jette sur elle, la bascule dans le lit et commence à la déshabiller. Il la violente, la roule au sol et s’agrippe à ses effets vestimentaires.
Mais face au refus catégorique de la petite de céder, Matar monte sur ses grands cheveux, crache du venin et profère des menaces. Il se montre d’avantage violent, s’empare du foulard de la mineure enroulé autour du cou et lui en ligote les mains pour la maîtriser et l’empêcher de se remuer. Ainsi, en deux temps trois mouvements, il lui ôte les dessous, la plaque au lit et la viole. Après son forfait, il demande à la gamine de garder le silence.
Mais, de cette relation sexuelle, celle-ci contracte une grossesse de cinq mois mais se garde d’informer les membres de sa famille. Mais, au fil du temps, la maman constate un brusque changement morphologique ainsi qu’une surcharge pondérale chez son enfant et l’interpelle. La petite tergiverse et reste évasive sur ses explications. Sa grande sœur la conduit au poste de santé de Fasss Mbao où la sage-femme lui révèle une grossesse de 5 mois.
Matar, informé de la grossesse, nie totalement les faits et soutient être blanc comme neige dans cette histoire. Une plainte est tout de même déposée, au poste de police de Sicap Mbao, pour détournement de mineure, pédophilie, viol suivi de grossesse avec constitution de partie civile, contre lui. A la police, la gamine réaffirme ses déclarations et indique avoir fait l’objet de violence et de sévices corporels pendant l’acte. « On n'était pas des amants. Il m’a envoyée chercher une corde dans sa chambre, non loin de l’arrêt car ou je vends des fruits comme lui. Je n’osais pas crier car il avait menacé de me rudoyer. Il n'y avait personne dans la maison au moment où il abusait de moi. C’était la première fois que j'entretenais des rapports intimes avec un homme. C’est lui qui m’a déflorée », a déclaré la victime en sanglots.
Le présumé pédophile fini par dire qu'il ignorait que la fille était mineure. Ce, avoir soutenu que la fille étais sa copine durant 18 mois et qu'elle était une fille volage.
Le dossiers est entre les mains de la justice.
A en croire Grand Place qui donne l'info, la demoiselle et le mis en cause se connaissent depuis longtemps et exercent le même métier de vendeur de fruits. Matar S. se découvre alors des affinités avec la petite et noue des relations conviviales avec elle. Quand il apprend que la gamine se nomme A.D., il lui réaffirme son attachement viscéral à sa personne et indique la considérer comme sa propre sœur. D’autant qu’il déclare que la gamine porte le même prénom que sa mère. Il lui offre tout le temps des cadeaux et se plie a ses quatre volontés. Mais, tout cela ne fut qu’une manière subtile pour le bonhomme de gagner la confiance de la fille pour mieux la ferrer ou appâter afin de l’entraîner dans son lit.
Un jour, vers 15h, Matar l’interpelle et lui demande d’aller lui chercher, dans sa chambre, non loin du coin, une corde avec laquelle il veut attacher son étal. La petite confie sa marchandise à une tierce personne et se rend, sans arrière-pensée, dans la pièce. Mais, à peine arrivée, elle est aussitôt rejointe à l’intérieur par le jeune garçon qui referme avec fracas la porte et propose une partie de partouze à l’adolescente. Il se jette sur elle, la bascule dans le lit et commence à la déshabiller. Il la violente, la roule au sol et s’agrippe à ses effets vestimentaires.
Mais face au refus catégorique de la petite de céder, Matar monte sur ses grands cheveux, crache du venin et profère des menaces. Il se montre d’avantage violent, s’empare du foulard de la mineure enroulé autour du cou et lui en ligote les mains pour la maîtriser et l’empêcher de se remuer. Ainsi, en deux temps trois mouvements, il lui ôte les dessous, la plaque au lit et la viole. Après son forfait, il demande à la gamine de garder le silence.
Mais, de cette relation sexuelle, celle-ci contracte une grossesse de cinq mois mais se garde d’informer les membres de sa famille. Mais, au fil du temps, la maman constate un brusque changement morphologique ainsi qu’une surcharge pondérale chez son enfant et l’interpelle. La petite tergiverse et reste évasive sur ses explications. Sa grande sœur la conduit au poste de santé de Fasss Mbao où la sage-femme lui révèle une grossesse de 5 mois.
Matar, informé de la grossesse, nie totalement les faits et soutient être blanc comme neige dans cette histoire. Une plainte est tout de même déposée, au poste de police de Sicap Mbao, pour détournement de mineure, pédophilie, viol suivi de grossesse avec constitution de partie civile, contre lui. A la police, la gamine réaffirme ses déclarations et indique avoir fait l’objet de violence et de sévices corporels pendant l’acte. « On n'était pas des amants. Il m’a envoyée chercher une corde dans sa chambre, non loin de l’arrêt car ou je vends des fruits comme lui. Je n’osais pas crier car il avait menacé de me rudoyer. Il n'y avait personne dans la maison au moment où il abusait de moi. C’était la première fois que j'entretenais des rapports intimes avec un homme. C’est lui qui m’a déflorée », a déclaré la victime en sanglots.
Le présumé pédophile fini par dire qu'il ignorait que la fille était mineure. Ce, avoir soutenu que la fille étais sa copine durant 18 mois et qu'elle était une fille volage.
Le dossiers est entre les mains de la justice.