En prison depuis deux ans six mois, S. Ndoye qui espérait être jugé avant-hier devant la barre de la première Chambre correctionnelle du tribunal de Dakar, va devoir patienter jusqu’au 20 juillet. Inculpé pour détournement de deniers publics, son affaire a été renvoyée pour convoquer l’agent judiciaire de l’Etat et son complice S. M. M. Mbacké.
En 2020, alors chef de service du Bureau de Dakar Étoile dela Poste, S. Ndoye a été à l’origine d’un gap de 600 mille francs CFA. Pour ne pas se faire arrêter, il s’en est ouvert à un de ses amis qui l’a mis en rapport avec un marabout.
Alors que celui-ci lui avait promis de lui éviter la prison, il l’a davantage précipité dans le gouffre. De 600 mille francs CFA, le trou est passé à plus de 18 millions de francs CFA. Arrêté, S. Ndoyea déclaré aux enquêteurs qu’il a été envoûté par celui qu’il croyait être son sauveur.
A l’en croire, dès qu’il a effectué le bain mystique que lui a prodigué le marabout, il est resté à sa merci et a satisfait tous ses désirs. Tout l’argent soutiré dans la caisse de la boîte, il renseigne l’avoir remis à celui-ci. Même sa voiture n’a pas été épargnée.
Cette année encore, il va passer la fête de la Tabaski loin de son épouse et de sa famille. La demande de mise en liberté provisoire formulée par son avocat a été rejetée par la Chambre correctionnelle.
En 2020, alors chef de service du Bureau de Dakar Étoile dela Poste, S. Ndoye a été à l’origine d’un gap de 600 mille francs CFA. Pour ne pas se faire arrêter, il s’en est ouvert à un de ses amis qui l’a mis en rapport avec un marabout.
Alors que celui-ci lui avait promis de lui éviter la prison, il l’a davantage précipité dans le gouffre. De 600 mille francs CFA, le trou est passé à plus de 18 millions de francs CFA. Arrêté, S. Ndoyea déclaré aux enquêteurs qu’il a été envoûté par celui qu’il croyait être son sauveur.
A l’en croire, dès qu’il a effectué le bain mystique que lui a prodigué le marabout, il est resté à sa merci et a satisfait tous ses désirs. Tout l’argent soutiré dans la caisse de la boîte, il renseigne l’avoir remis à celui-ci. Même sa voiture n’a pas été épargnée.
Cette année encore, il va passer la fête de la Tabaski loin de son épouse et de sa famille. La demande de mise en liberté provisoire formulée par son avocat a été rejetée par la Chambre correctionnelle.